Une bonne nuit de sommeil fait partie de prendre soin de soi.
Un corps reposé est la garantie d’un esprit plus heureux.
Quels sont les avantages d’une bonne nuit de sommeil ?
Moins de trouble de la mémoire
Meilleure humeur
Système immunitaire renforcé
Meilleure gestion du stress
Pression artérielle plus basse
Moins de fringale
Alors, voici quelques conseils pour dormir mieux :
Se coucher à heure fixe (entre 22 et 23 h) et se lever aussi à heure fixe (entre 6 et 7 h).
Prendre l’air tous les jours et votre corps produira plus d’hormones du sommeil le soir.
S’octroyer des pauses régulières au cours de la journée et faire des exercices de respiration pour réduire le stress.
Faire du sport génère également du cortisol, donc mieux vaut le faire le matin ou l’après-midi mais pas le soir.
Boire avec modération des boissons alcoolisées mais aussi des boissons contenant de la caféine car celle-ci a des effets sur votre corps jusqu’à 5 heures après sa consommation.
Eviter de grignoter des collations riches en sucre car ce n’est pas idéal juste avant de se coucher.
Dormir dans le noir total produit la bonne version de l’hormone mélatonine ce qui favorise l’endormissement.
Faire le vide de vos pensées en les inscrivant sur une feuille de papier, cela évite de réfléchir lorsque vous vous couchez.
Dormir au frais favorise la qualité du sommeil (entre 15 et 18°C).
Boire un verre d’eau ou une tisane avant d’aller coucher aide à s’endormir plus facilement.
Et si vous ne parvenez toujours pas à dormir après tous ces conseils, levez-vous et lisez un livre ou un magazine pendant 20 à 30 minutes afin de fatiguer votre esprit.
Le diabète est une maladie chronique caractérisée par un excès de sucre (glucose) dans le sang, c’est-à-dire une hyperglycémie.
Cette hyperglycémie peut survenir parce que le pancréas ne produit pas assez d’insuline, ou parce que l’organisme n’utilise pas correctement l’insuline produite.
L’insuline est une hormone qui permet au glucose de pénétrer dans les cellules pour être utilisé comme source d’énergie.
90 % des personnes diabétiques sont de type 2, c’est-à-dire qu’elles sécrètent de l’insuline, mais cette hormone régule avec moins d’efficacité le taux de sucre dans leur sang.
Les traitements comprennent un changement de régime alimentaire, de l’exercice, des médicaments et une insulinothérapie.
Les 10 % restants sont des personnes diabétiques de type 1, c’est-à-dire que le système immunitaire attaque les cellules du pancréas productrices d’insuline, ce qui entraîne une absence ou une quantité insuffisante de celle-ci pour la régulation du glucose dans le sang.
Le diabète de type 1 se caractérise par une hyperglycémie (excès de sucre dans le sang) et nécessite un traitement par injection d’insuline.
Voici quelques conseils pour mieux vivre son diabète :
Privilégier des aliments de saison et à indice glycémique bas (fruits pas trop mûrs, brocolis, tomates, poivrons, patate douce).
S’équiper d’un glucomètre en continu afin d’éviter de vous piquer plusieurs fois par jour pour contrôler votre glycémie. Pour un glucomètre classique avec bandelettes et stylo inclus, les prix varient entre 25 et 50 €. Pour un capteur connecté permanent et son récepteur, il faut compter de 70 à 90 €.
Pratiquer une activité régulière peut éviter aux personnes souffrant du diabète de type 2 une prise en charge médicamenteuse. Il suffit de marcher pendant 30 minutes ou faire du vélo d’appartement, cela pourrait même réguler le diabète de type 2.
La Valette est la capitale de Malte et le centre économique et administratif du pays.
L’architecture de la ville est essentiellement baroque.
L’un des traits d’identité de La Valette sont les curieux balcons de couleurs qui donnent sur l’extérieur.
Elle compte 5.827 habitants pour 0,8 km².
Les incontournables à visiter à La Valette sont :
Le palais des Grands Maîtres
Bâti par l’architecte maltais Girolamo Cassar en 1572, le palais abrite la Chambre des Députés et le bureau de la présidente de la république de Malte.
Le meilleur de la visite est de profiter de la décoration soignée des salles et des couloirs.
Les toits sont richement décorés de peinture et sur le sol apparaissent taillés dans la pierre, les écussons des différents maîtres de l’Ordre qui ont résidé dans ce palais.
La Salle du Trône et la Salle des Tapisseries sont aussi deux endroits qui valent la peine d’être vus, car ils renferment d’authentiques œuvres d’art datant de l’an 1700.
Dans l’aile droite, le musée d’armes et armures médiévales nous rappelle combien il devait être difficile de faire la guerre avec tant de kilos de métal sur les épaules…
Il s’agit d’une importante collection d’armures, de lances, d’épées, de canons et de tout types d’objets originaux de guerre ayant appartenus aux Chevaliers de l’Ordre de Malte.
De même, vous pourrez profiter du charme et de l’ombre du jardin pour faire une petite pause.
L’adresse est : St. George’s Square.
Le prix d’entrée est gratuit pour les – de 6 ans, 8 € pour les 6 – 11 ans, 10 € pour les 12 – 17 ans, 12 € pour les 18 – 59 ans et 10 € à partir de 60 ans.
2. La Casa Rocca Piccola
La Casa Rocca Piccola est la propriété de la famille du Marquis De Piro.
Toujours résidant de la demeure, ouverte aux visites et dont 5 chambres sont louées à la nuitée, Nicholas de Piro raconte volontiers l’histoire passionnante de la Casa Rocca Piccola.
Celle-ci regorge de trésors tels une chaise à porteurs du XVIème siècle superbement conservée, une invitation au couronnement de la reine Elizabeth II ou encore, les premiers instruments de médecine sur le front.
Le parcours des pièces situées au premier étage laisse découvrir également une sublime salle à manger d’été, où le couvert élégamment dressé sous une statue de marbre blanc, offre une idée charmante des repas pris.
Au delà de son esthétique, joyeusement baroque, où des allégories de l’électricité et de la mécanisation de l’agriculture prennent les traits de fées dans l’escalier central, l’histoire se déploie sur plusieurs siècles.
En effet, la maison est restée debout, même pendant la Deuxième Guerre Mondiale et les bombardements sur La Valette, comme en témoigne l’abris anti-aérien construit dès 1936 sous la cour intérieure.
L’adresse est : Republic St, 74.
Le prix d’entrée est gratuit pour les – de 13 ans et 10,50 € à partir de 14 ans.
3. La co-cathédrale Saint-Jean
Les Chevaliers ont ordonné la construction d’un temple à Gerolamo Cassar et à l’architecte d’intérieur maltais, Mattia Preti.
Six ans plus tard, en 1578, la co-cathédrale Saint-Jean était terminée et elle devenait ainsi le plus important temple baroque de Malte.
Aujourd’hui, vous pouvez voir des lambeaux de marbre provenant du sol de la nef centrale, là où sont enterrés 400 chevaliers de l’Ordre, parmi lesquels se trouve le fondateur de la capitale maltaise Jean Parisot de la Valette.
C’est un exemple de la splendeur du baroque à Malte.
Sa décoration soignée et ses murs chargés de motifs dorés sont difficiles à trouver dans un autre endroit du pays.
Elle est formée par une nef centrale et huit chapelles latérales, qui représentent les différentes langues parlées par l’Ordre.
Il est intéressant de jeter un œil à chaque chapelle, décorées de motifs et symboles appartenant à la nationalité qu’elles représentent.
L’élément le plus impressionnant de la co-cathédrale est sans aucun doute la voûte.
La peinture est l’œuvre du maître italien Matta Preti, qui a mené à bien un réalisme suprême pour chacune des figures représentées.
Preti a aussi décoré les murs latéraux du maître-autel en y peignant des scènes issues de la vie de Saint Jean-Baptiste.
Les murs de la co-cathédrale sont taillés et décorés directement dans la pierre de calcaire, une technique très compliquée, et surtout très avancée pour l’époque.
La décapitation de Saint-jean est la peinture la plus importante et préside une grande salle annexe de la cathédrale.
Il s’agit de l’une des œuvres maitresses de Le Caravage, qui a habité Malte pendant un temps et qui a également fait partie des Chevaliers de l’Ordre.
Dans la co-cathédrale Saint-Jean, se trouve également Saint-Jérôme écrivant, une œuvre de taille plus petite, mais tout autant chargée de symbolique.
L’adresse est : Triq San Gwann.
Le prix d’entrée est gratuit pour les – de 12 ans, 12 € pour les 12 – 17 ans, 15 € pour les 18 – 59 ans et 12 € à partir de 60 ans.
4. Upper Barrakka Gardens
Les Jardins Upper Barrakka ont été créés en 1661 par les chevaliers de l’Ordre de Saint-Jean comme un espace privé de détente.
Ils ont été ouverts au public au début des années 1800, sous la domination britannique.
Les impressionnantes arcades en pierre surplombant la mer offrent un cadre spectaculaire pour admirer Malte.
Ces arches rappellent le passé militaire de l’île et offrent une perspective unique sur les fortifications environnantes.
L’adresse est : Triq Sant’ Orsla, 292.
L’entrée est gratuite pour tout le monde.
5. Le Fort Saint-Elme
Perché à l’extrémité de la péninsule de La Valette, le Fort Saint-Elme est un bastion impressionnant qui raconte l’histoire militaire de Malte.
Construit en 1552, ce fort a joué un rôle clé lors du Grand Siège de Malte en 1565.
Aujourd’hui, il abrite le Musée national de la guerre, où vous pourrez découvrir des expositions sur l’histoire militaire maltaise, des chevaliers de l’Ordre de Saint-Jean jusqu’à la Seconde Guerre mondiale.
Parmi la collection d’armes qui y est exposée, on retrouve des avions, des munitions, des motos et des engins de la Seconde Guerre Mondiale.
Dans le musée, vous pourrez aussi découvrir des exemples de costumes originaux utilisés par les militaires maltais de la marine et de l’aviation pendant la guerre.
Le Musée de la Guerre expose aussi des armes primitives de la préhistoire trouvées lors de fouilles archéologiques.
La vue panoramique sur le Grand Harbour et la mer Méditerranée est à couper le souffle.
L’adresse est : St Elmo Bridge.
Le prix d’entrée est gratuit pour les – de 5 ans, 5,50 € pour les 6 – 11 ans, 7,50 € pour les 12 – 17 ans, 10 € pour les 18 – 59 ans et 7,50 € à partir de 60 ans.
Dans un saladier, mélanger les crevettes, le miel, du sel, la sauce soja, les graines de cumin, le piment d’Espelette et laisser mariner pendant 15 minutes.
Dénoyauter et couper les abricots en quartiers.
Laver et couper les courgettes en dés.
Eplucher et émincer les oignons nouveaux avec les tiges.
Eplucher et hacher l’ail.
Râper le gingembre.
Dans un wok, faire chauffer l’huile.
Ajouter les oignons, l’ail, le gingembre et laisser revenir pendant 5 minutes.
Ajouter les dés de courgettes et les faire cuire pendant 10 minutes.
Ajouter les dés d’abricot et les faire revenir pendant 5 minutes.
Déposer les crevettes et la marinade et les faire cuire pendant 5 minutes tout en remuant doucement.
Parsemer de coriandre fraîche juste avant de servir.
Dès l’âge de 25 ans, les premiers signes de vieillissement cutané peuvent apparaître…
Heureusement qu’il existe des moyens simples de conserver malgré tout une peau ferme.
Comment ?
Voici quelques conseils afin d’y parvenir :
Eviter les rayons UV
Pour les accros du bronzage, il est important de savoir que les rayons UV sont l’une des principales causes du vieillissement cutané.
Que faire ?
Protéger votre peau toute l’année avec un indice de protection élevé.
Intégrer à votre routine un sérum ou une crème contenant de la vitamine C.
Eviter au maximum l’exposition directe du soleil.
2. Se protéger contre la lumière bleue
Une exposition prolongée à la lumière bleue des écrans de votre ordinateur, votre tablette ou de votre smartphone abîme la peau et accélère son vieillissement.
Que faire ?
Se protéger la peau avec une crème de jour raffermissante.
Utiliser un filtre anti lumière bleue sur votre écran d’ordinateur.
3. Stimuler la production de collagène
Le collagène empêche votre peau de se relâcher.
Il est donc primordial de stimuler sa production.
Que faire ?
En utilisant un sérum raffermissant contenant de l’huile de pépins de grenade et des peptides de maca.
Utiliser une crème de jour contenant du collagène va permettre au visage de se raffermir et rendre les rides moins visibles.
4. Utiliser des ingrédients naturels
L’ingrédient phare est l’huile de pépins de grenade qui est une source naturelle d’antioxydants.
Les produits à base de vitamine C et de polyphénols neutralisent les radicaux libres causés par les rayons UV.
Que faire ?
Utiliser une gamme de soins raffermissants composée d’ingrédients 100 % naturels.
5. Adapter un mode de vie sain
Bien évidemment, une routine de soins efficace et un mode de vie sain vont de pair.
Vous avez tendance à toujours tout remettre à plus tard en vous disant qu’il vous reste encore un peu de temps ?
Vous vous trouvez des excuses pour le faire plus tard et puis vous finissez par stresser ?
Alors, il faut arrêter de procrastiner…
Voici quelques conseils pour lutter contre la procrastination :
Associer une activité amusante avec la tâche moins amusante (Regarder une série en repassant, boire un smoothie en faisant de l’administratif, écouter de la musique en nettoyant, …).
Diviser les tâches importantes en étapes plus petites (Nettoyer la maison une pièce par jour au lieu de tout faire le même, …).
Dresser une liste de choses à faire, noter les tâches, fixer des priorités et des échéances précises (Ce matin, nettoyer le miroir de la salle de bain, appeler telle personne à telle heure, …).
Mettre votre téléphone dans une autre pièce pendant que vous effectuez votre tâche afin d’éliminer les distractions (Scroller sur les réseaux sociaux, consulter les nouvelles, …).
Faire part de vos objectifs à vos amis ou à votre famille et leur demander de vous accompagner afin de rester motivé(e) et ainsi les atteindre (Faire du sport à plusieurs plutôt que seul(e)).
Vous complimenter et vous offrir un petit quelque chose d’agréable lorsque vous terminez votre tâche (Une glace, un bain chaud, …).
Pratiquer la méditation, cela va permettre de lutter contre l’anxiété et le stress et cela va renforcer votre volonté de faire la tâche.
Lister les inconvénients de la procrastination et les afficher pour que vous puissiez les voir régulièrement (Si je ne fais pas ceci, personne ne le fera et ma confiance en moi va s’effondrer, …).
Planifier les tâches à faire et commencer la journée par celles qu’on aime le moins pour terminer par celles qui vous dérangent le moins (Passer l’aspirateur le matin et faire ses ongles l’après-midi, …).
La règle des 5 secondes : Compter à rebours de 5 à zéro et passer immédiatement à l’action sans réfléchir ni hésiter. Cette simple action va vous aider à franchir le premier obstacle de la procrastination.
Avec tous ces conseils, vous en aurez fini avec la procrastination…
Une recette à consommer en familles ou entre amis…
Ingrédients (Pour 6 personnes)
1,5 kg de poitrine de veau désossée
4 oeufs
2 tranches de pain de mie
2 cuillères à soupe de lait
20 gr de beurre
1 oignon
1 petit ris de veau
250 gr de collet de porc
50 gr de parmesan râpé
200 gr d’épinards
1 branche de thym
250 gr de petits pois
50 gr de pistaches
1 crépine
1 sachet de court bouillon
Sel
Poivre
2. Préparation
Dans un poêlon d’eau bouillante, faire cuire 3 oeufs pendant 15 minutes.
Les écaler.
Faire cuire le ris de veau dans une casserole d’eau bouillante salée pendant 10 minutes.
Dans une casserole d’eau bouillante, faire blanchir les épinards pendant 5 minutes et les égoutter.
Eplucher et hacher grossièrement l’oignon.
Mixer le pain, l’oignon, le porc, le ris de veau et les épinards.
Dans un saladier, faire une farce en mélangeant l’ensemble avec le pain, les petits pois, les pistaches, le parmesan, l’oeuf, sel, poivre et une branche de thym émiettée.
Garnir la poitrine de veau en introduisant les oeufs durs.
Ajouter la farce de chaque côté des oeufs durs.
Coudre les ouvertures soigneusement et ficeler afin d’obtenir une sorte de rôti.
Envelopper une crépine.
Dans une casserole, faire un court bouillon et ajouter les os retirés par le boucher.
Mettre la poitrine et laisser cuire pendant 1h30 à feu doux.
Sofia est la capitale de la Bulgarie, dans les Balkans.
Elle se trouve à l’ouest du pays, au pied du massif montagneux du Vitocha.
Ses monuments témoignent de ses plus de 2.000 ans d’histoire avec notamment les occupations grecque, romaine, ottomane et soviétique.
Elle comprend 1.480.124 habitants pour 180 km².
Les incontournables à visiter à Sofia sont :
Cathédrale Saint Alexander Nevsky
La construction de la cathédrale Alexandre Nevski a commencé en 1882 (après avoir été planifié depuis le 19 Février 1879), lorsque la première pierre a été posée, mais la majeure partie a été construite entre 1904 et 1912.
Saint-Alexandre-Nevski était un prince russe.
La cathédrale a été créé en l’honneur des soldats russes morts pendant la guerre russo-turque de 1877-1878, à la suite de laquelle la Bulgarie a été libérée de la domination ottomane.
La cathédrale Alexandre Nevski occupe une superficie de 3.170 m² et peut accueillir 5.000 personnes à l’intérieur.
La cathédrale Alexandre Nevski est une basilique au dôme croisé avec un dôme central accentué.
Le dôme en or de la cathédrale est haut de 45 m et son clocher atteignant 53 m.
Le temple possède 12 cloches dont le poids total est de 23 tonnes.
La plus lourde pesant 12 tonnes et la plus légère 10 kg.
L’intérieur est décoré avec du marbre italien en différentes couleurs, d’un onyx brésilien, un albâtre et d’autres matériaux luxueux.
La prière du Seigneur est inscrite autour du dôme central avec des lettres d’or minces.
A gauche de l’autel il y a une vitrine exposant les reliques d’Alexandre Nevski, données par l’Eglise orthodoxe russe.
Bien que sur la plaque l’écrit en langue bulgare se réfère simplement à des «reliques», cela semble être un morceau d’une nervure.
Il y a un musée d’icônes bulgares à l’intérieur de la crypte de la cathédrale qui fait partie de la Gallerie Nationale d’Art.
L’adresse est : Sofia Center, pl. « Sveti Aleksandar Nevski ».
Le prix d’entrée est gratuit pour les – de 7 ans, 2 € pour les 7 – 17 ans, 5 € pour les 18 – 64 ans et 3 € à partir de 65 ans.
2. Monument aux soldats de l’Armée soviétique
Le monument principal adopte la forme d’une haute pyramide, à la partie supérieure coupée, sur laquelle s’élève une composition sculptée figurative de 8 m de hauteur.
Elle présente un soldat soviétique, un ouvrier bulgare et une mère avec son enfant.
Brandissant un fusil automatique, le soldat soviétique annonce la victoire sur le fascisme.
La composition symbolise la libération du peuple ouvrier bulgare du fascisme avec l’aide décisive de l’Armée soviétique.
Dans la partie inférieure du monument sont élaborées des compositions en relief de chaque côté à l’excepté du frontal.
Elles présentent en ordre chronologique la création, la montée en puissance et la marche victorieuse de l’Armée soviétique.
Le relief oriental présente la composition « Octobre 1917 » qui met en scène marins, soldats, ouvriers et jeunes filles : tous ceux qui ont formé avec un enthousiasme révolutionnaire l’Armée soviétique.
Le relief méridional présente la composition « Tout pour le front, tout pour la victoire » et montre comment l’ensemble du peuple soviétique mit tous ses efforts dans l’appui et l’aide logistique de son armée.
Le relief occidental s’appelle « La grande guerre patriotique de l’Union soviétique » et montre l’avancée militaire et l’invincible puissance de l’Armée soviétique contre les agresseurs hitlériens.
Sur la façade il est écrit : « A l’Armée soviétique libératrice par le peuple bulgare reconnaissant ».
L’adresse est : Pette Kyosheta.
L’entrée est gratuite pour tout le monde.
3. Grand théâtre Ivan Vazov
L’édifice du théâtre fut inauguré en 1907, à une époque où Sofia transformait à vive allure son côté oriental ottoman en ville moderne suivant les tendances architecturales viennoises.
Le groupe théâtral s’était déjà formé en 1904 lorsque la troupe de « Larmes et Rires » a pris le nom de « Théâtre national bulgare ».
Sa grande salle avec ses fauteuils en velours rouge et ses balcons coquets revêtent un style de la fin de XIXème siècle.
Quelques uns des grands noms de la culture bulgare ont marqué l’histoire du théâtre comme Krastio Sarafov, l’actrice Adriana Budevska, l’écrivain Pentcho Slaveïkov et le poète Peïo Yavorov.
Le théâtre brûla entièrement dans un terrible incendie survenu en 1923, lors d’une célébration anniversaire.
Le nouvel édifice vit le jour 6 ans plus tard, en 1929, suite au projet de l’architecte allemand Martin Dülfer.
En face du théâtre est aménagé un jardin public avec ses fontaines aux jets d’eau et ses grands arbres.
C’est aussi le terrain réservé aux joueurs d’échec qu’y sont tous les après-midis, en compagnie des curieux qui suivent le jeu attentivement.
Des expositions de photographies sont souvent organisées dans ses allées.
En janvier 2018 le théâtre accueillit la cérémonie de l’ouverture de la Présidence de la Bulgarie de l’Union Européenne pour les 6 mois à venir.
L’adresse est : Sofia Center, Dyakon Ignatiy St, 5.
L’entrée est gratuite pour tout le monde.
4. Musée de l’Illusion
Le musée est composé de plusieurs salles:
Une salle historique avec différents tableaux
Une autre avec des illusions d’optique
Une pièce avec un panel phosphorescent
où les visiteurs donnent libre cours à leur imagination de peintres et peuvent laisser leur silhouette en empreinte sur les murs.
L’adresse est : Sofia Center, Knyagina Maria Luisa Blvd, 16.
Le prix d’entrée est gratuit pour les – de 3 ans, 4,50 € pour les 3 – 6 ans, 9,20 € pour les 7 – 17 ans, 12,25 € pour les 18 – 64 ans et 9,20 € à partir de 65 ans.
5. Jardin de Boris
Cette oasis au cœur de Sofia a vu le jour en 1882, à l’époque c’était une pépinière qui se trouvait en périphérie de la ville.
En 1895, il a été appelé « Jardin du prince Boris » en hommage à Boris, le fils du prince Ferdinand, qui venait de fêter sa première année.
Le premier paysagiste qui s’occupait du parc était le Suisse Daniel Neff.
Ayant mis au point son tout premier plan d’aménagement, il a aussi planté les premiers 10.000 arbres.
La pépinière était située là où de nos jours se trouve le lac Ariana.
Certains de ces arbres centenaires sont toujours à voir dans le Jardin de Boris qui s’étend sur plus de 330 ha.
Pendant la journée, le parc est plein de mères promenant leurs enfants, des sportifs ayant préféré l’air frais à l’atmosphère viciée des salles de sport, des coureurs solitaires, des retraités venus s’assoir au soleil et lire le journal.
A la tombée du soir, le parc se remplit de groupes d’adolescents ou de supporteurs de football de tout âge – en effet, ici se trouvent le stade national « Vassil Levski » et le stade du CSKA éloignés à moins de 100 mètres l’un de l’autre.
A cela s’ajoutent des courts de tennis, un parc d’escalade,…
Un des espaces de jeux pour enfants les plus fréquentés de Sofia se situe également dans le Jardin de Boris qui est le terrain de beaucoup d’événements sportifs et culturels.
Le parc dispose aussi d’une zone sauvage, une vraie forêt en centre-ville.
L’adresse est : bul. « Dragan Tsankov ».
L’entrée est gratuite pour tout le monde.
Sans oublier :
L’Église russe Saint-Nicolas le Faiseur de Miracles
L’Église de Boyana
L’Église Saint Nedelja
L’Église Sainte Sophie
La Mosquée Banya Bashi
La rotonde de Saint-Georges
Le Musée national d’histoire
Le Musée National d’Ethnographie et Galerie Nationale d’Art
Dans un saladier, mélanger au batteur électrique la farine, 60 gr de sucre, 1 oeuf et la crème fraîche.
Verser le mélange dans une casserole et laisser cuire pendant 10 minutes à feu doux en remuant régulièrement.
Hors du feu, incorporer 1 jaune d’oeuf, les macarons, les écorces, le beurre, la fleur d’oranger et remettre à cuire pendant 5 minutes toujours à feu doux et en remuant régulièrement.
Eplucher les pommes et vider le centre.
Les rouler dans le blanc d’oeuf et ensuite dans le sucre.
Les placer dans un plat allant au four.
Garnir le centre de chacune d’elles d’une cuillère de crème.
Faire cuire pendant 30 minutes dans un four préchauffé à 180°C.
Décorer de la crème restante et de fruits confits avant de servir.