Comment parler de la mort aux enfants ?

Aujourd’hui, c’est la Toussaint…

La mort n’est pas un sujet facile à aborder avec vos enfants.

Et pourtant il est important lorsque vous et votre enfant perdez un proche de lui expliquer ce qu’il se passe.

  1. La mort en fonction de l’âge de l’enfant
  • Vers 2-3 ans , expliquer à votre enfant le cycle de la nature. Observer avec lui les arbres. Lui montrer que les bourgeons arrivent au printemps, que les feuilles grossissent durant l’été, qu’elles se fanent, meurent et tombent à l’automne. Expliquer lui que c’est la même chose pour les humains (bébé, enfant, adulte, personne âgée).
  • Vers 3-4 ans, votre enfant sait que le cœur de la personne ne bat plus quand elle meurt. Il pense que cela est temporaire et que la personne va de nouveau respirer, qu’elle se « repose ». Ne pas donner de faux espoirs aux enfants et leur expliquer que la personne ne va plus respirer et qu’il ne la verra plus.
  • Entre 5 et 8 ans, votre enfant comprend que tout le monde peut mourir et pas seulement les personnes âgées. Rassurer votre enfant en lui expliquant que c’est généralement les personnes âgées qui meurent.
  • A partir de 9 ans, votre enfant sait que la mort est irréversible et que la personne qui meurt ne reviendra jamais.

2. Quels sont les mots à éviter pour parler de la mort à votre enfant ?

Il ne faut pas cacher la vérité à votre enfant.

  • Ne pas utiliser des expressions comme « s’endormir », « partir », « s’en aller » ou « vivre au ciel ». Si vous dites à votre enfant que son papy s’est « endormi », il risque d’avoir peur d’aller au lit, de crainte de mourir lui aussi. Même chose si vous lui dites que sa mamy « est partie » pour un long voyage ou qu’elle « vit au ciel », votre enfant attendra son retour. Dites-lui que son papy ou sa mamy était très vieux et qu’ils étaient usés.
  • Ne pas seulement lui dire que son papy ou sa papy sont mort parce qu’ils étaient « malades » . Il faut lui dire la vérité et lui dire que son papy ou sa mamy sont mort d’un cancer qui est une maladie très grave. Que parfois certaines personnes en guérissent et que d’autres fois, les personnes n’en guérissent pas et meurent. Au sinon, votre enfant aura peur d’avoir un rhume, il pensera qu’il va mourir s’il tousse. De même, il aura peur que vous ne tombiez malade et que vous mourriez. Rassurez-le en lui disant que la mort n’est pas contagieuse.
  • En cas de suicide, ne dites pas à votre enfant que son papa, sa maman, son papy ou sa mamy s’est « pendu(e) »s’est « tiré une balle dans la tête », s‘est « jeté(e) en dessous d’un train » car votre enfant pourrait s’imaginer la scène et aurait peur d’avoir une balle ou un ballon dans la figure et de mourir. De même, il aura peur de prendre le train et d’y tomber et de mourir. Dites-lui simplement que son papa, sa maman, son papy ou sa mamy a choisi d’arrêter de respirer tout seul.

3. Que répondre à votre enfant concernant la mort ?

Il faut essayer de répondre le plus honnêtement à votre enfant lorsqu’il vous pose une question sur la mort.

Si vous ne connaissez pas la réponse, n’inventez pas et répondez-lui que vous vous ne le savez pas mais dès que vous aurez la réponse, vous lui direz.

  • Pourquoi on meurt ? Quand on vieillit, le corps s’use et quand il est trop usé, il ne peut plus fonctionner. C’est le cycle de la vie : on naît, on grandit, on devient un adulte, on devient de plus en plus vieux et on meurt. Dites-lui aussi que certaines personnes meurent plus tôt car elles sont gravement malades (cancer).
  • Est-ce que l’on sait quand on va mourir ? Non, personne ne sait jamais quand il va mourir. En général, on meurt quand on est très très vieux.
  • Qu’est-ce qui se passe quand on meurt ? Quand on meurt, notre cœur s’arrête de battre, ce qui veut dire qu’on ne respire plus, que notre sang ne circule plus, que notre cerveau ne marche plus. On ne sent plus rien. Expliquez-lui que c’est comme pour ses jouets, quand les piles sont usées, le jouet ne fonctionne plus jusqu’à ce qu’on remplace les piles sauf que pour les êtres humains (personnes et animaux), on ne sait pas remplacer les piles.
  • Où on va quand on est mort ?  On met le corps dans un cercueil, la famille et les amis se réunissent pour dire adieu au corps et après on l’enterre. Dans la terre, le corps disparaît petit à petit. Bien lui expliquer que le corps de la personne n’est plus là mais qu’on peut toujours regarder des photos et se souvenir de tous les bons moments passés avec elle.
  • Vas-tu mourir ?  Oui, je vais mourir un jour, tout le monde meurt. Je serai très très vieux / vieille. Pour l’instant, je suis bien là, en forme et en santé.
  • Est-ce que c’est ce ma faute si papa, maman, papy ou mamy est mort(e) ? Bien sûr que non, la mort arrive comme ça sans prévenir. Bien le rassurer car souvent l’enfant va se sentir coupable de pas avoir pu éviter cela surtout en cas de suicide.
Le cycle de la vie

Prenez soin de vous et de vos enfants !

Gnocchis jambon – épinards

Une recette plus rapide, c’est impossible…

  1. Ingrédients (Pour 6 personnes)
  • 3 sachets de gnocchis à cuire de 650 gr
  • 3 gousses d’ail
  • 3 oignons
  • 3 petites courgettes
  • 300 gr de jambon découpé en lanières
  • 225 gr d’épinards frais
  • 300 gr de fromage aux fines herbes
  • Huile
  • Sel
  • Poivre

2. Préparation

  • Eplucher et hacher finement les gousses d’ail.
  • Eplucher et hacher finement les oignons.
  • Rincer et couper les courgettes en morceaux.
  • Faire cuire l’ail, les oignons, les courgettes dans une poêle huilée pendant 8 minutes.
  • Ajouter les gnocchis et laisser cuire pendant 6 minutes.
  • Verser les lanières de jambon, les épinards, le fromage aux fines herbes et remuer jusqu’à l’obtention d’une texture lisse.
  • Servir bien chaud.

3. Infos pratiques

  • Difficulté : Facile
  • Préparation : 10 minutes
  • Cuisson : 20 minutes
  • Budget : Pas cher

Bon appétit !

Comment nouer de nouvelles amitiés une fois adulte ?

Quand on est enfant, cela est très facile de faire de nouvelles connaissances, que ce soit à l’école, dans les transports en commun, dans le club de sport, …

Une fois adulte, cela devient plus compliqué d’élargir son cercle d’amis, surtout si on est célibataire.

En effet, les collègues de travail, du club de sport, … ont souvent une vie de famille et ne veulent pas spécialement sortir boire un verre, au cinéma, en discothèque, …

Voici quelques conseils pour créer de nouvelles affinités :

  • Rencontrer des gens qui partagent les mêmes centres d’intérêt : Cela fait un point commun et cela crée plus facilement des amitiés. Après un match, un cours de céramique, une séance de yoga, … ne pas hésiter à proposer de prendre un café avec un autre participant avec lequel vous avez des affinités.
  • S’inscrire sur des applications de rencontre : De nos jours, il existe de nombreuses applications qui permettent de faire des rencontres en toute amitié. Certaines applications vous indiquent les activités organisées dans votre quartier ou dans votre région.
  • Devenir bénévole dans une organisation qui vous tient à coeur vous permettra de rencontrer des personnes partageant les mêmes idées que vous et avec lesquelles vous pourrez nouer une belle amitié.
  • Reprendre contact avec des camarades d’école avec qui vous étiez très proches. Rien de plus facile à l’heure des réseaux sociaux. Ne pas hésiter à lui demander d’aller boire un verre pour parler du bon vieux temps.
  • Réserver un voyage de groupe permet de créer un lien fort avec les personnes avec qui vous partagez celui-ci. Les personnes qui s’inscrivent à des voyages de groupe gardent de belles amitiés de cette expérience.
  • Réserver une place dans un espace de coworking : Le travail est souvent un lieu où on noue de nombreuses amitiés car finalement c’est là qu’on passe la plupart de nos journées.
  • Rencontrer ses voisins : On dit parfois qu’il vaut mieux avoir un voisin proche qu’un ami éloigné. Alors, ne pas hésiter à discuter avec eux et pourquoi pas organiser ensemble la fête des voisins afin de connaître les autres habitant(e)s.

Avec tous ces conseils, vous ne serez plus jamais seul(e)…

Prenez soin de vous !

Comment mieux vivre sa différence

Je suis différent(e) et alors ?

Il y a autant de différences que de façons de les vivre (Handicap, culture, origine sociale, maladie, apparence physique, …).

Lorsqu’on accepte sa différence, on la vit mieux.

Si au contraire, on ne l’accepte pas, on va se sentir en décalage par rapport au reste du monde, en position de faiblesse et on va souffrir du regard des autres.

Voici quelques conseils pour mieux vivre sa différence :

  • Fréquenter des gens bienveillants : Le mieux est de rencontrer des gens qui partagent votre vécu car ils vous comprennent et se soucient de vous. Si vous n’êtes pas à l’aise en groupe, commencez par en parler à un psy plutôt que dans un groupe de parole.
  • Se parler gentiment : Eviter de se dire qu’on est nul(le) ou pas comme les autres.
  • Prendre un animal de compagnie : Vous pourrez lui parler et celui-ci ne vous jugera pas et vous aimera comme vous êtes.
  • Se créer une place dans la société : Développer un domaine de compétences ou de préférences où on peut exceller et se rendre utile.
  • Prendre de la distance avec le regard d’autrui : Au mieux, on l’a juste imaginé. Au pire, il existe, mais cela en dit long sur la personne qui le pose.
  • Changer le regard que l’on pose sur soi : Bien sûr, il ne s’agit pas de prétendre qu’on est la plus belle personne du monde mais de cesser de se focaliser sur sa différence et de la voir comme une caractéristique positive ou intéressante.

Si souffrance il y a, c’est parce que les gens ont l’impression d’une barrière entre eux et les autres.

La société actuelle me semble plus ouverte à la différence.

Il est primordial de se dire que la plupart des différences constituent une énorme richesse.

Alors, prenez soin de vous !

Empanadas au chorizo avec sa sauce aïoli

Pour un apéro réussi.

  1. Ingrédients (Pour 16 pièces)
  • 2 pâtes brisées prête à l’emploi
  • 2 oignons
  • 1 morceau de chorizo de 30 cm
  • 200 gr de pois chiches en boite
  • 2 oeufs
  • 2 poignées de persil frais
  • 100 ml de lait
  • 1 cuillère à café de paprika fumé
  • 2 gousses d’ail
  • 2 cuillères à soupe de mayonnaise
  • 2 cuillères à soupe de yaourt grec
  • 2 cuillères à soupe de jus de citron
  • Sel
  • Poivre

2. Préparation

  • Eplucher et hacher finement les oignons.
  • Hacher finement le persil.
  • Couper finement le chorizo.
  • Egoutter les pois chiches.
  • Faire revenir le chorizo dans une poêle huilée pendant 5 minutes.
  • Ajouter les oignons, les pois chiches, le paprika fumé, le persil et laisser mijoter pendant 7 minutes.
  • Etaler les pâtes brisées sur 2 plaques de cuisson.
  • Découper des ronds à l’aide d’un grand verre retourné.
  • Mettre un peu de farce au chorizo sur une moitié des ronds.
  • Les replier et presser les bords à l’aide d’une fourchette.
  • Dans un bol, fouetter les oeufs et le lait.
  • Badigeonner les empanadas.
  • Faire cuire pendant 10 minutes dans un four préchauffé à 180°C.
  • Eplucher et émincer finement l’ail.
  • Le mélanger avec la mayonnaise, le yaourt, le jus de citron, saler et poivrer.

Servir les empanadas avec l’aïoli, un régal !

3. Infos pratiques

  • Difficulté : Facile
  • Préparation : 20 minutes
  • Cuisson : 17 minutes
  • Budget : Pas cher

Bon appétit !

Comment faire ranger sa chambre à son enfant sans s’énerver ?

Comment garder une maison ordonnée et agréable quand elle abrite toute une tribu ?

Le secret est de faire de vos enfants une partie de la solution plutôt que du problème en les impliquant dans le rangement.

Voici quelques clés afin d’y arriver sans s’énerver :

  • Leur faciliter la vie en vous équipant de rangement pratiques et accessibles afin que même les plus petits puissent y accéder et coller une étiquette ou un dessin dessous pour indiquer ce qui doit être mis dans ce rangement.
  • Anticiper : Mieux vaut prévenir votre enfant que vous désirez que tout soit ranger avant de passer à table ou d’aller au lit plutôt que de le sommer tout d’un coup alors qu’il est en pleine partie de son jeu.
  • Rendre le rangement amusant : Pour que cela ne soit pas une corvée pour votre enfant, rien de tel que de mettre de la musique et de leur lancer un challenge. Quelques idées de challenge : les chronométrer, leur rassembler tous les objets par couleur, jeter les peluches dans un bac comme s’il s’agissait d’une cible, ramasser le nombre d’affaire indiqué, …
  • Donner des consignes claires : Rien ne sert de noyer votre enfant sous une tonne d’instructions, mieux vaut le guider dans son rangement en lui expliquant clairement ce que vous attendez de lui (Ranger les livres dans la bibliothèque, Rassembler les doudous, …).
  • Montrer le bon exemple : Comme les enfants apprennent en imitant leurs parents, il est primordial de replacer un objet à sa place après l’avoir utilisé ou de faire le ménage dans la bonne humeur.
  • Effectuer un tri régulier : Les enfants grandissent rapidement et les centres d’intérêt changent. Il est donc important de désencombrer régulièrement les armoires, ce qui facilite le rangement au quotidien.
  • Les féliciter : Ne pas oublier de remercier votre enfant pour ses efforts après une session de rangement, cela va le valoriser et il sera fier du travail accompli.

En continuant de l’impliquer dans le rangement, peu importe s’il est petit ou ado, vous élèverez un futur adulte qui saura garder une maison propre et organisée.

Prenez soin de vous et de votre intérieur !

Quiche verte – chèvre

Une recette facile pour les soirs de flemme !

  1. Ingrédients (Pour 6 personnes)
  • 1 pâte feuilleté prête à l’emploi
  • 150 gr de petits pois surgelés
  • 75 ml de crème fraiche
  • 6 oeufs
  • 1 poignée d’estragon frais
  • 150 gr de fromage chèvre
  • 1 courgette
  • Huile
  • Sel
  • Poivre

2. Préparation

  • Etaler la pâte feuilletée avec le papier sulfurisé dans un moule à tarte.
  • Piquer la pâte à l’aide d’une fourchette.
  • Mixer les petits pois avec la crème, les oeufs, la moitié de l’estragon, sel et poivre jusqu’à l’obtention d’un mélange lisse.
  • Verser le mélange sur la pâte feuilletée.
  • Recouvrir avec le fromage de chèvre émietté.
  • Faire cuire dans un four préchauffé à 180°C pendant 40 minutes.
  • Rincer et couper en longs rubans la courgette.
  • Hacher finement le reste de l’estragon.
  • Sortir la quiche du four, la parsemer avec les rubans de courgette, de l’huile, du sel, du poivre, de l’estragon haché et un peu de fromage de chèvre émietté.

3. Infos pratiques

  • Difficulté : Facile
  • Préparation : 15 minutes
  • Cuisson : 40 minutes
  • Budget : Pas cher

Bon appétit !

Comment écrire au stylo interagit avec votre cerveau

Quand on écrit à la main, les différentes zones de notre cerveau interagissent plus qu’au clavier.

Plusieurs études comportementales montrent un effet négatif de la saisie au clavier sur la qualité de l’orthographe, la mémorisation et la compréhension.

En effet, les personnes se concentrent sur le choix de la bonne touche au détriment du sens du mot.

Lorsque les personnes écrivent au stylo, les zones du cerveau impliquées dans l’attention, la vision, le langage et la perception sensorielle apparaissent connectées les unes aux autres.

Les zones dialoguent davantage lors de l’écriture manuscrite, ce qui permet d’ancrer en mémoire les mots écrits.

De même, lorsque nous écrivons au stylo, plusieurs points sont à souligner :

  • La lenteur : Cela prend plus de temps d’écrire le mot à la main que de le taper sur le clavier, donc on l’a plus longtemps en tête.
  • L’activité cérébrale : L’écriture manuelle s’accompagne d’une activité soutenue des neurones qui est cruciale pour la mémorisation à long terme.
  • L’activité phonologique : Elle s’accompagne d’une stimulation visuelle car tout le temps que vous écrivez le mot, vous le regardez et son apprentissage est donc plus rapide.
  • Les ressources cognitives : Elles sont nécessaires à la compréhension et à la mémorisation du mot et de la phrase.

En conclusion, les stylos ont encore de beaux jours devant eux dans les cartables.

Poulet ananas, sauce curry-coco

Un repas délicieux et vite prêt !

  1. Ingrédients (Pour 6 personnes)
  • 750 gr de filet de poulet
  • 1 ananas frais
  • 3 poivrons rouges
  • 2 pincées de piment de Cayenne
  • 360 gr de riz basmati
  • 3 cuillères à café de curry en poudre
  • 2 échalotes
  • 2 gousses d’ail
  • 300 ml de lait de coco
  • 225 ml de jus de pomme
  • 1 poignée de coriandre
  • Huile
  • Sel
  • Poivre

2. Préparation

  • Couper les poivrons rouges en lanières et les épépiner.
  • Les répartir sur une plaque recouverte de papier cuisson.
  • Arroser d’huile, de sel de poivre et enfourner pendant 25 minutes dans un four préchauffé à 180°C.
  • Faire cuire le riz dans une casserole d’eau bouillante salée selon les instructions sur l’emballage.
  • Peler et couper l’ananas en morceaux.
  • Couper le poulet en morceaux.
  • Dans un bol, mélanger 2/3 des morceaux d’ananas, le poulet, le curry, saler et poivrer.
  • Eplucher et émincer les échalotes.
  • Eplucher et émincer l’ail.
  • Dans une poêle huile, faire revenir les échalotes et l’ail pendant 5 minutes.
  • Ajouter le mélange poulet – ananas et remuer.
  • Ajouter les 2/3 des poivrons, le lait de coco, le jus de pomme et laisser mijoter jusqu’à l’obtention d’une sauce épaissie.
  • Servir avec le riz, ajouter l’ananas, les poivrons restants et décorer de coriandre.

Petit conseil : Pour lier la sauce, vous pouvez ajouter 1 cuillère à soupe de fécule de maïs délayée dans un peu d’eau.

3. Infos pratiques

  • Difficulté : Facile
  • Préparation : 20 minutes
  • Cuisson : 45 minutes
  • Budget : Pas cher

Bon appétit !

Envie de partir skier ? TIGNES ?

Située à plus de 2000 mètres d’altitude, Tignes est l’une des plus grandes stations de ski françaises, reliée à Val d’Isère, pour former le domaine skiable Tignes – Val d’Isère de 300 km de pistes.

La station allie modernité et festivités, avec une montée en gamme récente.

Les skieurs et les snowboarders ont à leur disposition 85 remontées.

1. Comment y arriver ?

Il y a 7 façons d’aller de Bruxelles à Tignes :

  • En avion jusqu’à Genève
  • En avion jusqu’à Milan Linate
  • En avion jusqu’à Lyon
  • En train
  • En bus
  • En bus de nuit
  • En voiture

2. Où loger ?

3. Où manger ?

4. Où skier ?

Tignes est ni plus ni moins que la station de ski française proposant la plus longue période d’ouverture.

Dès la fin septembre, Tignes ouvre le bal et vous propose de skier sur plus de 150 kilomètres de pistes.

Une fois l’enneigement suffisant, la liaison avec la station voisine de Val d’Isère est à son tour ouverte.

Ce sont alors les 300 km de l’Espace Killy qui s’offrent à vous !

À Tignes, pratiquez le ski même en été sur le glacier de la Grande Motte.

5. Où louer des skis ?

Forfait de ski journée, forfait court séjour, forfait semaine ou bien même forfait saison, pour adulte, enfant ou séniors…

Tignes propose toute une gamme de forfaits de ski répondant aux besoins de chacun.

Les prix des forfaits de ski de Tignes nous sont directement communiqués par la station.

6. Renseignements divers

  • Devise : Euros
  • Langues parlées : Anglais, Français, Allemand, Espagnol, Italien, Néerlandais.

Vous aurez ainsi tous les renseignements pour préparer vos vacances au ski…