Quand on est enfant, cela est très facile de faire de nouvelles connaissances, que ce soit à l’école, dans les transports en commun, dans le club de sport, …
Une fois adulte, cela devient plus compliqué d’élargir son cercle d’amis, surtout si on est célibataire.
En effet, les collègues de travail, du club de sport, … ont souvent une vie de famille et ne veulent pas spécialement sortir boire un verre, au cinéma, en discothèque, …
Voici quelques conseils pour créer de nouvelles affinités :
Rencontrer des gens qui partagent les mêmes centres d’intérêt : Cela fait un point commun et cela crée plus facilement des amitiés. Après un match, un cours de céramique, une séance de yoga, … ne pas hésiter à proposer de prendre un café avec un autre participant avec lequel vous avez des affinités.
S’inscrire sur des applications de rencontre : De nos jours, il existe de nombreuses applications qui permettent de faire des rencontres en toute amitié. Certaines applications vous indiquent les activités organisées dans votre quartier ou dans votre région.
Devenir bénévole dans une organisation qui vous tient à coeur vous permettra de rencontrer des personnes partageant les mêmes idées que vous et avec lesquelles vous pourrez nouer une belle amitié.
Reprendre contact avec des camarades d’école avec qui vous étiez très proches. Rien de plus facile à l’heure des réseaux sociaux. Ne pas hésiter à lui demander d’aller boire un verre pour parler du bon vieux temps.
Réserver un voyage de groupe permet de créer un lien fort avec les personnes avec qui vous partagez celui-ci. Les personnes qui s’inscrivent à des voyages de groupe gardent de belles amitiés de cette expérience.
Réserver une place dans un espace de coworking : Le travail est souvent un lieu où on noue de nombreuses amitiés car finalement c’est là qu’on passe la plupart de nos journées.
Rencontrer ses voisins : On dit parfois qu’il vaut mieux avoir un voisin proche qu’un ami éloigné. Alors, ne pas hésiter à discuter avec eux et pourquoi pas organiser ensemble la fête des voisins afin de connaître les autres habitant(e)s.
Avec tous ces conseils, vous ne serez plus jamais seul(e)…
Il y a autant de différences que de façons de les vivre (Handicap, culture, origine sociale, maladie, apparence physique, …).
Lorsqu’on accepte sa différence, on la vit mieux.
Si au contraire, on ne l’accepte pas, on va se sentir en décalage par rapport au reste du monde, en position de faiblesse et on va souffrir du regard des autres.
Voici quelques conseils pour mieux vivre sa différence :
Fréquenter des gens bienveillants : Le mieux est de rencontrer des gens qui partagent votre vécu car ils vous comprennent et se soucient de vous. Si vous n’êtes pas à l’aise en groupe, commencez par en parler à un psy plutôt que dans un groupe de parole.
Se parler gentiment : Eviter de se dire qu’on est nul(le) ou pas comme les autres.
Prendre un animal de compagnie : Vous pourrez lui parler et celui-ci ne vous jugera pas et vous aimera comme vous êtes.
Se créer une place dans la société : Développer un domaine de compétences ou de préférences où on peut exceller et se rendre utile.
Prendre de la distance avec le regard d’autrui : Au mieux, on l’a juste imaginé. Au pire, il existe, mais cela en dit long sur la personne qui le pose.
Changer le regard que l’on pose sur soi : Bien sûr, il ne s’agit pas de prétendre qu’on est la plus belle personne du monde mais de cesser de se focaliser sur sa différence et de la voir comme une caractéristique positive ou intéressante.
Si souffrance il y a, c’est parce que les gens ont l’impression d’une barrière entre eux et les autres.
La société actuelle me semble plus ouverte à la différence.
Il est primordial de se dire que la plupart des différences constituent une énorme richesse.
Comment garder une maison ordonnée et agréable quand elle abrite toute une tribu ?
Le secret est de faire de vos enfants une partie de la solution plutôt que du problème en les impliquant dans le rangement.
Voici quelques clés afin d’y arriver sans s’énerver :
Leur faciliter la vie en vous équipant de rangement pratiques et accessibles afin que même les plus petits puissent y accéder et coller une étiquette ou un dessin dessous pour indiquer ce qui doit être mis dans ce rangement.
Anticiper : Mieux vaut prévenir votre enfant que vous désirez que tout soit ranger avant de passer à table ou d’aller au lit plutôt que de le sommer tout d’un coup alors qu’il est en pleine partie de son jeu.
Rendre le rangement amusant : Pour que cela ne soit pas une corvée pour votre enfant, rien de tel que de mettre de la musique et de leur lancer un challenge. Quelques idées de challenge : les chronométrer, leur rassembler tous les objets par couleur, jeter les peluches dans un bac comme s’il s’agissait d’une cible, ramasser le nombre d’affaire indiqué, …
Donner des consignes claires : Rien ne sert de noyer votre enfant sous une tonne d’instructions, mieux vaut le guider dans son rangement en lui expliquant clairement ce que vous attendez de lui (Ranger les livres dans la bibliothèque, Rassembler les doudous, …).
Montrer le bon exemple : Comme les enfants apprennent en imitant leurs parents, il est primordial de replacer un objet à sa place après l’avoir utilisé ou de faire le ménage dans la bonne humeur.
Effectuer un tri régulier : Les enfants grandissent rapidement et les centres d’intérêt changent. Il est donc important de désencombrer régulièrement les armoires, ce qui facilite le rangement au quotidien.
Les féliciter : Ne pas oublier de remercier votre enfant pour ses efforts après une session de rangement, cela va le valoriser et il sera fier du travail accompli.
En continuant de l’impliquer dans le rangement, peu importe s’il est petit ou ado, vous élèverez un futur adulte qui saura garder une maison propre et organisée.
Etaler la pâte feuilletée avec le papier sulfurisé dans un moule à tarte.
Piquer la pâte à l’aide d’une fourchette.
Mixer les petits pois avec la crème, les oeufs, la moitié de l’estragon, sel et poivre jusqu’à l’obtention d’un mélange lisse.
Verser le mélange sur la pâte feuilletée.
Recouvrir avec le fromage de chèvre émietté.
Faire cuire dans un four préchauffé à 180°C pendant 40 minutes.
Rincer et couper en longs rubans la courgette.
Hacher finement le reste de l’estragon.
Sortir la quiche du four, la parsemer avec les rubans de courgette, de l’huile, du sel, du poivre, de l’estragon haché et un peu de fromage de chèvre émietté.
Quand on écrit à la main, les différentes zones de notre cerveau interagissent plus qu’au clavier.
Plusieurs études comportementales montrent un effet négatif de la saisie au clavier sur la qualité de l’orthographe, la mémorisation et la compréhension.
En effet, les personnes se concentrent sur le choix de la bonne touche au détriment du sens du mot.
Lorsque les personnes écrivent au stylo, les zones du cerveau impliquées dans l’attention, la vision, le langage et la perception sensorielle apparaissent connectées les unes aux autres.
Les zones dialoguent davantage lors de l’écriture manuscrite, ce qui permet d’ancrer en mémoire les mots écrits.
De même, lorsque nous écrivons au stylo, plusieurs points sont à souligner :
La lenteur : Cela prend plus de temps d’écrire le mot à la main que de le taper sur le clavier, donc on l’a plus longtemps en tête.
L’activité cérébrale : L’écriture manuelle s’accompagne d’une activité soutenue des neurones qui est cruciale pour la mémorisation à long terme.
L’activité phonologique : Elle s’accompagne d’une stimulation visuelle car tout le temps que vous écrivez le mot, vous le regardez et son apprentissage est donc plus rapide.
Les ressources cognitives : Elles sont nécessaires à la compréhension et à la mémorisation du mot et de la phrase.
En conclusion, les stylos ont encore de beaux jours devant eux dans les cartables.
Située à plus de 2000 mètres d’altitude, Tignes est l’une des plus grandes stations de ski françaises, reliée à Val d’Isère, pour former le domaine skiable Tignes – Val d’Isère de 300 km de pistes.
La station allie modernité et festivités, avec une montée en gamme récente.
Les skieurs et les snowboarders ont à leur disposition 85 remontées.