Les yeux sont un organe important de notre corps, il est donc primordial d’en prendre bien soin.
Pour cela, il est important d’aller consulter régulièrement afin de détecter au plus les problèmes visuels tels que le strabisme ou la myopie.
Les contrôles à effectuer sont :
A 9 mois
De 1 à 6 ans, un contrôle annuel.
A 12 ans
A partir de 18 ans, un contrôle tous les 2 ans.
Si vous avez des prédispositions familiales ou des facteurs de risque particulier comme le diabète, une tension artérielle élevée, des rendez-vous plus fréquent sont souhaitables.
Enfin, soyez attentif aux signes tels que des changements brusques de vision, des douleurs, des rougeurs ou des démangeaisons.
Si un seul de ces signes apparait, il est recommandé de consulter un spécialiste le plus rapidement possible.
Voici quelques conseils afin de protéger vos yeux des dangers :
Eviter l’alcool en excès et le tabac car ils peuvent causer des dommages comme la cataracte ou la névrite optique.
Se protéger des rayons UV en portant des lunettes solaires de bonne qualité, surtout en été et à la montagne.
S’équiper de lunettes de protection lors d’activités à risque comme le bricolage et le jardinage.
Voici encore quelques conseils pour l’achat des lentilles et des lunettes :
Eviter les marques blanches qui ne correspondent pas forcément à des besoins spécifiques.
Vérifier les dates de péremption des lentilles et des produits d’entretien.
Profiter des promotions (deuxième paire gratuite, pourcentage de remises selon l’âge, …).
Vérifier la provenance des verres, souvent garante de leur qualité.
Couper la moitié de la fourme d’Ambert en petits cubes et l’autre moitié en lamelles.
Dans une poêle huilée, faire revenir les blancs de poulet pendant 5 minutes de chaque côté.
Dans une casserole d’eau bouillante salée, faire cuire le boulgour pendant 10 minutes.
Concasser les noisettes.
Dans une casserole, faire fondre le beurre à feu doux.
Ajouter la farine et mélanger jusqu’à l’obtention d’une préparation lisse.
Verser le lait en mélangeant et laisser cuire pendant 5 minutes.
Ôter la casserole du feu et ajouter le poivre, la noix de muscade, le fourme d’Ambert coupée en petits cubes et mélanger jusqu’à ce que le fromage fonde.
Graisser les cassolettes avec un peu de beurre.
Y verser un peu de béchamel dans le fond.
Ajouter un peu de boulgour, des fleurettes de brocolis, des noisettes concassées, encore du boulgour et de nouveau de la béchamel.
Ajouter de nouveau des fleurettes de brocoli.
Couper les blancs de poulet de lamelles.
Ajouter quelques tranches dans chaque cassolette.
Compléter avec un peu de boulgour et de la béchamel.
Terminer avec la fourme d’Ambert en lamelles.
Faire cuire pendant 10 minutes dans un four préchauffé à 180°C (Thermostat 6).
Jusqu’en 1807, la ville se nommait Fort-Royal et ses habitants sont appelés les Foyalais.
Elle est située sur la côte ouest de l’ile, face à la mer des Caraïbes.
Elle bénéficie d’un climat tropical humide.
Les incontournables à visiter à Fort-de-France sont :
Le Fort Saint-Louis
Le Fort Saint-Louis, construit en 1640, est un remarquable fort militaire français de style Vauban, qui abrite la base navale de la Marine nationale aux Antilles.
C’est une imposante forteresse composée de plusieurs bastions qui lui confèrent une solide protection :
Le bastion du Carénage
Le bastion royal
La batterie basse de la Pointe
Le bastion Sainte-Marthe.
Les portes de Blénac et de Baas permettent d’accéder au Fort depuis l’extérieur.
Une fois à l’intérieur de l’enceinte, on découvre divers bâtiments, tels que :
Le pavillon Aycard
Le pavillon Delacoste
Les ruelles préservent l’atmosphère d’autrefois, offrant une immersion dans l’histoire passée.
Les casemates, ces espaces souterrains, témoignent de l’organisation et de la fonction défensive du Fort.
De plus, on peut admirer le bâtiment de l’infirmerie, situé le long de la descente vers le boulevard de Blénac.
Le « célibatorium », un bâtiment distinct, apporte une touche singulière à l’ensemble.
Il s’agissait d’un lieu destiné aux célibataires de l’époque, ajoutant une dimension sociale à la vie au sein du Fort.
Enfin, on peut encore observer l’un des canons qui gardaient l’entrée de la baie de Fort-de-France.
L’adresse est : Bd Chevalier Sainte-Marthe à 97200 Fort-de-France.
Le prix d’entrée est gratuit pour les – de 6 ans, 4 € pour les 6 – 14 ans et 8 € à partir de 15 ans.
2. La cathédrale Saint-Louis
Edifiée vers 1671, la Cathédrale Saint-Louis n’échappe pas au destin mouvementé de la ville.
Incendiée par les soldats de Ruyter, elle est détruite à plusieurs reprises :
Tremblement de terre de 1839
Incendie de 1890
Cyclone de 1891
Tremblement de terre de 1953
L’édifice actuel fut presque entièrement reconstruit en 1978 dans sa version fin XIXème due à Henri Picq, l’architecte de la Bibliothèque Schoelcher.
La nef de la cathédrale entièrement soutenue par des arches métalliques donne un bel élancement au bâtiment.
Vous aurez une impression d’espace et de clarté renforcée par la série de grand vitraux qui font généreusement entrer la lumière du jour.
N’hésitez pas à jeter un oeil à l’étage vers les tribunes aux gardes corps en fer forgé joliment ouvragé, et à la belle chaire en bois datant de la fin du XIXème siècle.
De même, ne manquez pas de jeter un oeil aux Grandes Orgues et aux vitraux qui retracent l’histoire de la ville.
L’adresse est : Rue Victor Schoelcher à 97200 Fort-de-France.
L’entrée est gratuite pour tout le monde.
3. La maison d’Aimé Césaire
Aimé Césaire est un célèbre poète et homme politique martiniquais qui a acheté cette maison vers la fin des années 1960 afin d’y accueillir sa famille.
Sa maison est dédiée à sa vie et à son œuvre.
Elle est composée de trois chambres, d’une zone de repas et séjour, d’un bureau, de salle de bain, d’une galerie et d’une bibliothèque.
Après son décès le 17 avril 2008, cette maison a été vendue par la famille Césaire à la commune.
Les visiteurs peuvent explorer la maison, qui abrite des objets personnels, des manuscrits et des expositions sur son influence culturelle et politique.
L’adresse est : route de Redoute, 131 à 97200 Fort-de-France.
Le prix d’entrée est gratuite pour les – de 16 ans, 4 € pour les 16 – 64 ans et 3 € à partir de 65 ans.
4. Le jardin de Balata
C’est en 1982 que Jean-Philippe Thoze, horticulteur, paysagiste et artiste dans l’âme, revient sur les traces de son enfance dans la maison créole de ses grands-parents.
De là, naîtra une passion pour la botanique qui va le mener aux quatre coins du monde.
Le jardin, organisé autour de l’Habitation familiale à l’architecture créole typique, est le fruit d’une alchimie parfaite entre un retour aux sources et un artiste atypique.
L’immersion au Pays des Merveilles se fait dès votre arrivée dans le parc où plus de 3.000 espèces végétales s’épanouissent pour votre plus grand bonheur.
Les sentiers bien tracés sont bordés de balisiers, d’orchidées sauvages, de palmiers, de dracénas, d’héliconias, de mahoganys géants, …
Vous ne connaissez pas la moitié des noms ? Pas de panique, des panneaux vous expliquent quelles plantes vous observez.
Plus récemment des ponts suspendus ont été installés dans le Jardin de Balata pour une petite promenade dans les arbres, à 15 mètres de hauteur…
Le Jardin de Balata a pensé à vos bambins de 3 à 8 ans avec un parc doté de toboggans, passerelles, cabanes.
Vous aurez aussi le plaisir de trouver une belle petite colonie de colibris Madère, les plus gros des colibris de l’île.
Les abreuvoirs disposés à l’entrée du parc en font un point de rendez-vous permanent pour ces petites créatures volantes !
L’adresse est : Rte de Balata à 97234 Fort-de-France.
Le prix d’entrée est gratuit pour les – de 3 ans, 11 € pour les 3 – 12 ans et 16 € à partir de 13 ans.
5. Le musée régional d’histoire et d’ethnographie
Situé dans une ancienne maison bourgeoise de Fort-de-France construite en 1887, le MRHE nous invite à découvrir un intérieur bourgeois de la fin du XIXème siècle avec ses meubles et objets de la culture créole de cette époque.
Dans des vitrines, des documents anciens et des tableaux retracent quelques importants épisodes historiques de l’île.
Aujourd’hui, le rez-de-chaussée abrite une salle d’expositions temporaires modulable en espace vidéo et une petite boutique.
Le premier étage du musée est réservé aux collections permanentes qui reconstitue un intérieur bourgeois de la fin du XIXème siècle avec ses meubles, ses objets, des costumes et bijoux créoles.
De même que de nombreuses peintures et gravures retraçant quelques grandes étapes historiques de l’île, l’histoire de la ville de Saint-Pierre et de Fort-de-France.
Et dans les combles, est installée une riche bibliothèque sur l’esclavage contenant un millier d’ouvrages couvrant une période allant du XVIIème au XIXème siècles.
L’adresse est : Avenue des Caraïbes, 20 à 97200 Fort-de-France.
Le prix d’entrée est : 0,75 € pour les – de 12 ans, 3 € pour les 13 – 64 ans et gratuit à partir de 65 ans.
Les troubles digestifs peuvent survenir à tout âge avec comme conséquences :
Des ballonnements
Des reflux gastro-œsophagiens
Des douleurs abdominales
Afin de les soulager, on a souvent le réflexe de prendre des médicaments ou des compléments alimentaires.
Toutefois, de simples modifications de l’hygiène de vie sont tout aussi efficaces.
Voici quelques habitudes qui permettent de limiter les troubles digestifs et de se passer de médicaments :
Consommer des fibres
Il est important de réactiver le transit en consommant des légumes, des céréales et un fruit à chaque repas.
En effet, nous avons besoin de 30 gr de fibres par jour.
Si vous êtes sujet aux ballonnements, il vaut mieux privilégier les légumes cuits aux crudités ainsi que les fruits bien mûrs et pelés.
Il est aussi très important de boire au moins 1,5 litre quotidiennement.
2. Prendre des repas moins gras
Plus un repas est riche en graisses, plus il met du temps à évacuer l’estomac et risque de « remonter ».
Il est important de modérer les charcuteries, les plats en sauce, les produits frits et les fromages, surtout le soir.
La position allongée favorise les reflux, il est donc conseillé de souper au moins trois heures avant de vous coucher.
Afin de faciliter la digestion, il est primordial de bien mastiquer et de se limiter à un verre de boisson en mangeant.
3. Pratiquer une activité physique régulière
Cela contribue à la prévention des troubles digestifs en maintenant un transit correct.
En cas de stress chronique, le yoga, le qi gong, la sophrologie ou la méditation de pleine conscience sont à pratiquer au moins deux à trois fois par semaine.
Cela permet de calmer le nerf sympathique qui innerve l’ensemble du tube digestif, qui est à l’origine des spasmes et de l’hypersensibilité intestinale.
4. Consommer des aliments fermentés
Les yaourts, les laits fermentés, la choucroute, les olives, … fournissent des lactobacilles et des bifidobactéries qui modulent la composition du microbiote.
Ils aident à réguler le transit et stimulent les défenses immunitaires.
Si vous n’en consommez pas, vous pouvez compenser par des probiotiques qui sont un peu plus coûteux.
5. Consulter
Beaucoup de troubles digestifs surviennent en raison d’une alimentation déséquilibrée, d’une sédentarité excessive ou d’une exposition chronique au stress.
Mais ils comptent aussi parmi les symptômes de nombreuses maladies dont il ne faut pas retarder le diagnostic.
Donc, si dans un délai de trois à quatre semaines, vos problèmes persistent en dépit de vos efforts, il est prudent de consulter un spécialiste.
Capitale de la Guyane, Cayenne est située à l’est du territoire sur la côte atlantique du continent sud-américain.
La ville se caractérise par ses magnifiques maisons anciennes de type créole que l’on trouve surtout en centre-ville.
Cayenne, bien que lancée sur la voie du modernisme, a su conserver son aspect traditionnel à travers les monuments et sites historiques présents dans la ville.
La présence des nombreux espaces verts et de la plage à quelques encablures du centre offre aux Cayennais un cadre de vie qui ne ressemble en rien à celui d’une ville ordinaire.
Elle compte 63.956 habitants pour 23,60 km².
Les incontournables à visiter à Cayenne sont :
La cathédrale Saint-Sauveur
La première pierre de la cathédrale Saint-Sauveur a été posée le 25 août 1823.
Les travaux durèrent plus de 10 ans.
Elle sera consacrée le 6 août 1833, et officiellement inaugurée en 1874.
Elle est dédiée au saint Sauveur (Jésus-Christ).
Les touristes découvriront les rosaces, des vitraux de couleur, l’autel actuel situé au début de la nef, un confessionnal en bois de wacapou, les statues de Saint-Pierre et Saint-Paul et le clocher.
La cathédrale est inscrite aux monuments historiques, le 9 décembre 1992.
Elle a été classée en 2012.
Le clocher a été restauré au cours des années 2000 et 2001.
Les murs extérieurs ont pour leur part été réhabilités entre 2004 et 2005.
L’adresse est : Rue François Arago à 97300 Cayenne.
L’entrée est gratuite pour tout le monde.
2. Le musée départemental Alexandre Franconie
Cette magnifique maison créole bleue datant de 1842 abrite la bibliothèque municipale ainsi qu’un musée.
Il a été cédé en 1884 par Gustave Franconie au gouvernement de l’époque.
Ce petit musée départemental offre une introduction captivante à la Guyane, ses cultures et son histoire.
Les différentes salles sont :
Salle d’Estrées (salle d’histoire naturelle)
C’est la première salle du musée, un caïman noir vous accueille dans l’exposition consacrée aux animaux vertébrés.
Historiquement, c’est dans cette salle que le premier « musée local » s’est installé.
Galerie Schoelcher
Sur votre droite, vous trouverez une petite galerie.
On y trouve un ensemble d’objets divers : des cloches, des peintures, un tronc de palmier, des maquettes.
C’est un vrai cabinet de curiosités.
Salle d’ornithologie
La salle d’ornithologie reprend le fil de l’histoire naturelle avec des présentations d’oiseaux du littoral et de nos forêts.
Vous pourrez en apprendre plus sur les nids et la nourriture de ces oiseaux.
Une vitrine consacrée à la minéralogie locale est présente dans la salle.
Salle d’entomologie
C’est la seule salle climatisée du musée.
Pour des raisons de conservations, les insectes de nos collections ont droit à un peu de fraîcheur.
La plus grande partie des spécimens provient de la collection du père Yves Barbotin.
Salle d’archéologie et d’ethnologie
Une fois monté à l’étage, c’est des sciences humaines dont il est question.
La première partie est consacrée aux vestiges archéologiques amérindiens retrouvés sur le territoire.
La seconde partie de la salle est une évocation des cultures guyanaises avec l’artisanat amérindien, les rituels et la culture bushinengue et créole.
Salle d’Histoire
Auparavant nommée « salle de colonisation » par nos prédécesseurs, c’est l’Histoire qui est évoquée dans cette salle.
Vous pourrez voir des objets de grande taille comme la maquette représentant la ville de Cayenne en 1789, ou bien une vue de Cayenne du Fort Cépérou en 1900.
Certains épisodes de l’Histoire le Guyane sont aussi retracés par la peinture, les évènements de Mapa, ou la prise du Fort Cépérou par le Vice-Amiral D’Estrées.
Salle du bagne
La salle du bagne évoque une page particulière de l’Histoire de la Guyane.
C’est Francis Lagrange qui nous la raconte grâce à ses fameuses « scènes » peintes dans les années 1950.
L’adresse est : Rue de Rémire, 1 à 97300 Cayenne.
Le prix d’entrée est gratuit pour les – de 18 ans et 3 € à partir de 19 ans.
3. Le Fort Cépérou
Le premier fortin de Guyane fut élevé sur la colline de Cépérou en 1643.
En 1652, la Compagnie de la France Equinoxiale fit élever par Jean de Laon, ingénieur du Roi, des fortifications en pierre, et donna le nom de Saint-Michel au fort.
En 1667, une nouvelle campagne de travaux transforma le fort en bastion.
Une ville basse se développa au pied de la colline fortifiée.
Le 21 décembre 1676, le fort fut le théâtre d’une dure lutte entre les Hollandais commandés par l’amiral Brinks, et les Français commandés par l’amiral comte d’Estrées.
En 1749, le fort abritait 4 bâtiments : un magasin à poudre, un magasin des projectiles, une cuisine et un corps de garde.
On accédait au fort par un chemin couvert, et un chemin de ronde courait sur l’enceinte en trapèze.
En 1760, l’entrée du chemin couvert fut renforcée par une construction en maçonnerie.
En 1820, il ne restait que 3 bâtiments, un magasin à poudre, une salle d’artifice (située à 40 m du magasin) et un bâtiment à reconstruire.
En 1864, le fort était dans un état d’abandon.
Le 12 août 1888 la cloche du fort sonna pendant 8 jours consécutifs lors du grand incendie du quartier sud-est de la ville.
Une plaque commémorative a été placée à l’entrée du fort en 1902.
Le 26 février 1980, il a été inscrit à l’inventaire des sites pittoresques.
L’adresse est : Avenue du Général de Gaulle, 95 BP 11 à 97321 Cayenne.
Le prix d’entrée est gratuit pour tout le monde.
4. Le Jardin Botanique
Le Jardin Botanique de Cayenne, situé au cœur de Cayenne, est une véritable merveille naturelle qui attire des visiteurs désireux de découvrir l’extraordinaire biodiversité de cette région tropicale.
Ce jardin, niché dans la ville capitale, offre un aperçu fascinant de la flore luxuriante caractéristique des écosystèmes équatoriaux.
Ce site emblématique abrite une incroyable variété de plantes, d’arbres et de fleurs exotiques, offrant un spectacle coloré et parfumé aux visiteurs.
Parmi les collections, on trouve des orchidées rares, des palmiers imposants et une multitude de plantes médicinales, chacune racontant sa propre histoire dans l’écosystème guyanais.
Le Jardin Botanique ne se limite pas à être un lieu de promenade, il est également un espace éducatif où les visiteurs, qu’ils soient petits ou grands, peuvent apprendre l’importance de la biodiversité et des efforts de conservation.
Des visites guidées sont organisées, offrant des explications détaillées sur les espèces végétales présentes et leur rôle dans l’environnement local.
C’est une opportunité unique pour sensibiliser à l’importance de protéger notre patrimoine naturel.
En plus de son intérêt botanique, le jardin est un lieu de détente.
Avec ses allées ombragées, ses aires de pique-nique et ses bancs disséminés, il offre un cadre parfait pour se relaxer, lire un livre ou simplement profiter du chant des oiseaux et de la fraîcheur des plantes.
L’adresse est : Rue François Arago à 97300 Cayenne.
Le prix d’entrée est gratuit pour tout le monde.
5. Le sentier de Montabo
Long de 3,8 km, le sentier de Montabo est un chemin de promenade qui longe le bord de mer à travers la jungle.
C’est l’occasion parfaite de faire un peu d’exercice tout en profitant du magnifique paysage sur l’océan, de la faune et de la flore qui prospèrent à deux pas de Cayenne, tout en restant aux portes de la ville.
Il faut compter environ 1 heure et demie pour un aller-retour pour les personnes moins sportives.
Ce sentier agréable, sans grande difficulté, offre de superbes panoramas tout au long du parcours.
Vous aurez peut-être même la chance d’apercevoir des dauphins !
L’adresse est : Route de Montabo, 141 à 97300 Cayenne.