Boulettes tikka masala

Une délicieuse recette exotique !

  1. Ingrédients (Pour 6 personnes)
  • 750 gr de viande hachée porc – bœuf
  • 375 gr de riz basmati
  • 600 gr de dés de potiron
  • 600 gr de dés de tomates en boite
  • 4 gousses d’ail
  • 2 oignons
  • 2 piments rouges
  • 1 botte de coriandre
  • 3 cm de gingembre
  • 30 cl de yaourt blanc
  • 2 cuillères à soupe de pâte de curry rouge
  • 2 cuillères à soupe de pâte tandoori
  • 3 cuillères à café de curcuma
  • 3 cuillères à café de garam masala
  • 60 cl de lait de coco
  • 2 citrons vert
  • 6 cuillères à soupe d’amandes effilées grillées

2. Préparation

  • Eplucher et émincer l’ail.
  • Eplucher et émincer les oignons.
  • Hacher et épépiner le piment.
  • Ciseler la coriandre.
  • Râper le gingembre.
  • Mélanger tous les ingrédients dans un bol.
  • Dans un autre bol, mélanger le yaourt avec la pâte de curry rouge.
  • Ajouter la pâte tandoori et mélanger.
  • Ajouter le curcuma et mélanger.
  • Ajouter le garam masala et mélanger.
  • Incorporer le lait de coco, le zeste et le jus des citrons.
  • Faire cuire le riz dans de l’eau bouillante salée.
  • Former des boulettes avec la viande hachée.
  • Dans une poêle huilée, faire dorer les boulettes.
  • Dans une cocotte avec un peu d’huile, faire revenir le mélange au gingembre avec les dés de potiron et de tomates.
  • Ajouter la sauce au yaourt et remuer.
  • Ajouter les boulettes et laisser mijoter 20 minutes.
  • Verser le riz dans la cocotte contre le bord.
  • Parsemer d’amandes grillées.
  • Ajouter de la coriandre supplémentaire.

3. Infos pratiques

  • Difficulté : Facile
  • Préparation : 25 minutes
  • Cuisson : 50 minutes
  • Budget : Assez cher

Bon appétit !

Quelles plantes exotiques planter dans son jardin

Envie d’exotisme au jardin ?

Pas besoin d’habiter dans un pays chaud pour profiter d’une plante tropicale…

Voici quelques plantes d’ailleurs mais qui poussent parfaitement ici :

  1. L’agapanthe

C’est une plante majestueuse venue d’Afrique du Sud.

Issue de bulbes, elle déploie de majestueuses tiges florales aux tons bleu, blanc ou mauve et qui mesure plus d’un mètre.

Les bulbes sont à planter au printemps dans un sol riche et bien drainé en plein soleil.

C’est une plante qui demande de fréquents arrosages.

Pour une floraison abondante, il faut couper les tiges fanées à ras.

Elle résiste jusqu’à – 5 °C donc ne pas hésiter à la pailler pour l’hiver.

2. Le palmier

Il existe des variétés qui supportent très bien le froid, à savoir :

  • Chamaerops humilis (-12 °C)
  • Trachycarpus fortunei (-17 °C)
  • Jubaea chilensis (-15 °C)
  • Washingtonia filifera (-12 °C)
  • Phoenix theophrasti (-10 °C)

Il est à planter au printemps dans une terre parfaitement drainée en plein soleil.

Il demande un arrosage régulier.

Il ne demande pas beaucoup d’entretien, uniquement ôter les palmes mortes en fin d’hiver.

La première année, il est prudent de l’entourer d’un voile d’hivernage.

3. Le kiwi

Afin d’avoir une bonne récolte des fruits, il est primordial d’associer un sujet femelle, porteur de fruits, avec un sujet mâle, pollinisateur.

Il est à planter en hiver en ajoutant du compost dans le trou, contre un mur exposé à l’ouest ou au sud.

Il demande un arrosage régulier.

L’été, il faut pincer les rameaux porteurs de fruits à 4 feuilles au-dessus des derniers bourgeons de fruits et tailler les gourmands.

Les fruits se récoltent en octobre.

En hiver, il faut le tailler sévèrement.

Il résiste jusqu’à – 15 °C.

4. Le bananier

Avec notre climat, la seule variété qui résiste est le Musa basjoo (-12 °C).

Il est à planter au printemps dans un sol drainé, au soleil mais à l’abri des vents forts.

Il est primordial de le maintenir humide et d’ajouter de l’engrais une fois par mois au printemps et en été.

Pour l’hiver, il faut entourer la plante d’un grillage d’un mètre rempli de feuilles, de paille, de fougères sèches.

Il est aussi important de recouvrir le haut de la plante avec un voile d’hivernage et une bâche par-dessus afin que l’eau ne pénètre et fasse pourrir le bananier.

5. Le citronnier

Avec notre climat, le seul moyen de conserver le citronnier est de le cultiver en pot.

Il nécessite du terreau pour agrumes afin de bien se développer ainsi que des billes d’argile dans le fond du pot.

Il aime la chaleur et réclame un peu d’humidité et de l’engrais une fois par mois au printemps et en été.

Il est important de le rentrer en hiver (serre froide ou véranda) car il ne supporte pas le gel (Max – 3 °C).

6. L’olivier

C’est un arbre d’origine méditerranéen mais qui résiste aux gelées (jusqu’à – 10 °C).

En pleine terre, il demande un sol bien drainé et assez profond, au soleil et à l’abri des vents forts.

Il résiste aussi très bien en pot.

Il demande un léger apport d’eau en été.

En hiver, il faut pailler le pied de l’arbre.

7. Le chêne vert

C’est un arbre d’origine méditerranéenne qui est très résistant aux maladies, à la sécheresse mais aussi au froid.

Il est à planter en automne dans un sol frais et bien drainé, à un endroit ensoleillé ou semi-ombragé.

Il est important de maintenir le sol frais mais sans excès d’humidité les premiers étés pour lui permettre un bon départ.

Les trois premières années, avant l’hiver, il est primordial de pailler le sol.

8. La vigne

La vigne a besoin d’un support pour grimper, peu importe la nature du sol, il faut juste qu’il soit drainant.

Il est recommandé de l’arroser une fois par semaine en période sèche les 3 premiers étés.

De même, la vigne est sensible aux maladies, il est donc recommandé de la pulvériser avec de la bouillie bordelaise ou du purin de prêle régulièrement.

Au printemps, une taille au-dessus du 2ème bourgeon est nécessaire pour favoriser le départ de deux rameaux.

Un bon paillage est suffisant pour l’hiver.

9. Le figuier

Le figuier est l’une des rares plantes mentionnées comme présentes dans le jardin d’Eden.

De novembre à fin mars, il s’adapte à tous les sols mais préfère une terre calcaire.

Il faut le planter avec un lit de gravier au fond du trou et dans un mélange terre – terreau dans un endroit ensoleillé et à l’abri des vents.

Pour qu’il porte de beaux fruits, il faut l’arroser régulièrement et ajouter une fois par mois de l’engrais organique.

Au printemps, il faut couper au-dessus du deuxième œil les pousses de l’année.

En automne, il est important de couper les rameaux qui ont fructifié.

Les trois premières années, il a besoin d’un bon paillage.

Avec toutes ces idées, votre jardin aura un goût d’exotisme…

Comment recourir à la PMA

Lorsque l’horloge biologique s’affole et aucun père potentiel à l’horizon, beaucoup de femmes ont recours à la PMA (Procréation Médicalement Assistée) en solo.

C’est un parcours qui n’est pas simple mais qui en vaut la peine.

En Belgique, la limite d’âge d’une PMA est de 45 ans.

De même, la législation belge actuelle impose l’anonymat du donneur à l’exception du don dirigé (quand la patiente amène un donneur connu).

Quels sont les étapes de la PMA ?

  • La première étape consiste en une consultation initiale avec un médecin spécialisé du centre PMA.
  • La deuxième étape consiste à subir une série de tests médicaux pour évaluer votre fertilité (analyses de sang, échographies pelviennes et d’autres examens pour déterminer la qualité de vos ovules).
  • La troisième étape consiste à recevoir l’avis favorable d’un psychologue (Uniquement pour les femmes seules, les couples non).
  • La quatrième étape consiste à choisir un donneur.

Vous pourrez alors commencer le traitement.

Les détails spécifiques du processus peuvent varier en fonction du centre de PMA.

Il est donc vivement recommandé de consulter un professionnel de la PMA pour obtenir les informations précises sur les étapes à suivre.

Voici quelques conseils avant de vous lancer dans un processus de PMA :

  • Bien s’entourer : La PMA en solo est un grand 8 émotionnel. Les femmes peuvent se sentir très seules et incomprises. Il est donc primordial d’avoir des personnes repères à qui parler des émotions qui vous traversent (Famille, amis, psychologue, groupe de paroles, …).
  • Bien se renseigner : Il est très important de se renseigner sur les différentes options disponibles et les spécificités de chaque centre PMA.
  • Rester sur votre choix : Lorsqu’il vous arrive de douter ou d’être découragée, il est primordial de ramener son attention et ses pensées sur les raisons de ce choix.
  • Demander de l’aide : N’hésitez pas à échanger avec vos proches de votre projet et demandez-leur de vous accompagner ou de vous soutenir émotionnellement avant, pendant et après la PMA.
  • Garder en tête que les schémas familiaux ont évolué : Choisir ce parcours peut vous faire sentir hors normes mais la société à évoluer. En effet, les femmes s’émancipent beaucoup plus et ne dépendent plus financièrement d’un homme comme il y a 50 ans.
  • Nourrir vos besoins de maternité : Le processus de PMA peut être long, éprouvant et amener des sentiments d’injustice, de colère et de déception lorsque cela ne fonctionne pas du premier coup. Laissez exprimer votre besoin de materner en prenant soin des gens qui vous entourent et surtout, en prenant soin de vous-même.

Faire un bébé toute seule n’est pas facile tous les jours mais amène tellement de bonheur !

Prenez soin de vous !

Financier au citron

Un dessert ou un goûter qui embaument la maison quand il cuit…

  1. Ingrédients
  • 25 gr de farine
  • 30 gr d’amande en poudre
  • 65 gr de sucre
  • 2 blancs d’oeuf
  • 35 gr de beurre fondu
  • 1 pincée de sel
  • Quelques gouttes d’huile essentielle alimentaire au citron

2. Préparation

  • Dans un saladier, mélanger la farine, l’amande en poudre et le sucre.
  • Battre les blancs en neige et saler.
  • Incorporer au mélange avec la farine.
  • Ajouter le beurre fondu ainsi que l’huile essentielle et bien mélanger.
  • Beurrer le moule à financier.
  • Répartir la pâte.
  • Laisser cuire pendant 15 minutes dans un four à 200°C (Thermostat 7).

3. Infos pratiques

  • Difficulté : Facile
  • Préparation : 10 minutes
  • Cuisson : 15 minutes
  • Budget : Pas cher

Bon appétit !

Besoin de vacances ? PHUKET ?

Phuket est une ville du sud de la Thaïlande.

En 2020, elle comptait 79.308 habitants pour 12,56 km².

Les températures restent très homogènes dans l’année avec une moyenne de 24°C à 31°C.

La moyenne des précipitations est 2.337 mm avec un pic entre avril et novembre.

Septembre est le mois le plus pluvieux avec 419,1 mm en moyenne.

Le 26 décembre 2004 à 7h58 heure locale, un séisme d’une magnitude de 9,3 dans l’océan Indien provoqua un tsunami d’une ampleur jamais observée auparavant.

A 8h30, ce tsunami frappa les côtes de Thaïlande, avec deux vagues successives qui détruisent plus de 90% des habitations et hôtels de la côte et provoqua la mort de plus de 220 000 personnes.

Les incontournables à visiter à Phuket sont :

  1. Le Wat Chalong

Le Wat Chalong est le temple bouddhiste le plus important de la péninsule de Phuket.

Construit au 19ème siècle selon l’architecture typique de ses homologues du sud de la Thaïlande, les habitants s’y réunissent pour prier et faire des offrandes au Buddha.

Le Chedi est le bâtiment principal du temple du Wat Chalong.

Construit en 2004, c’est le bâtiment le plus récent de l’enceinte religieuse.

Construit en marbre blanc, il mesure environ 60 mètres de haut.

Il est orné de sculptures dorées et de décorations qui représentent des scènes de la vie antérieure du Bouddha. On les appelle les scènes du Jataka.

A l’intérieur du Chedi, il y a une relique du Buddha, appelée Phra Borom Sareerikatat, au troisième étage.

C’est un fragment d’os ramené du Sri Lanka en 1999, qui a été installé au Wat Chalong en 2002 durant une cérémonie célébrée par le prince héritier Maha Vajiralongkorn.

N’hésitez pas à monter jusqu’à tout en haut du Chedi pour profiter d’une vue panoramique sur toute l’enceinte du temple.

Au loin, vous pourrez même apercevoir le Big Buddha de Phuket.

Le Viharn, ou salle des sermons, est la première salle que vous pourrez apercevoir en entrant dans l’enceinte depuis la Chaofa Road, une des routes principales de Phuket.

Elle abrite les statues des deux moines vénérés ici : Luang Pho Chaem et Luang Pho Chuang.

Les bouddhistes prient devant elles en les recouvrant de feuille d’or pour tenter de se faire bénir par ces moines.

Ils accrochent également des cordelettes autour de leur poignet pour se protéger des maladies et des blessures.

En vous promenant dans le Wat Chalong de Phuket, vous serez surpris d’entendre des explosions, provenant d’un four en brique présent au cœur du temple.

Les pétards sont en fait une forme d’offrande (que vous pourrez acheter sur place) qui permettent de montrer sa gratitude aux divinités lorsqu’un vœu a été réalisé.

Pas de panique donc si vous entendez de grosses détonations, ce sont juste des remerciements !

Vous pourrez profiter du calme des allées et des jardins du Wat Chalong de Phuket pour vous promener à l’ombre de la végétation et admirer les détails et les sculptures des différents édifices religieux.

Vous découvrirez de nombreux bâtiments, comme :

  • Le mondop
  • Le ubosot
  • Le sala

Ils ont tous une fonctions particulières dans la religion bouddhiste.

Comme dans tous les temples bouddhistes de Phuket, il est nécessaire d’adopter une tenue appropriée pour visiter le Wat Chalong de Phuket.

Pour les femmes, les épaules et les jambes doivent être couvertes, au minimum jusqu’aux genoux.

Les hommes devront adopter une tenue respectueuse mais les règles sont moins strictes.

Les chaussures ne sont jamais autorisées à l’intérieur et vous devrez les enlever avant d’entrer dans chaque bâtiment religieux.

L’adresse est : 70/6, route Chao Fah Tawan Tok.

L’entrée est gratuite pour tous.

2. Le Grand Bouddha

Le Grand Bouddha de Phuket est une statue de marbre blanc de 45 mètres de haut.

Ce monument impressionnant est probablement au sommet de l’attention de tous.

Un grand escalier mène aux statues de Bouddha.

Notez que les escaliers sont uniquement destinés à monter ; vous n’êtes pas autorisé à les descendre.

Il y a un chemin séparé pour descendre à flanc de colline, et un agent de sécurité qui y reste toute la journée s’assure que les gens respectent cette règle.

Il y a 94 marches pour atteindre le Grand Bouddha et les gravir est relativement facile.

Quelques marches vers l’ouest, un autre petit escalier vous mènera à une terrasse d’où vous aurez une belle vue sur la baie de Kata et la baie de Kata Noi.

En descendant, vous traverserez un temple où les moines s’assoient toute la journée pour donner des bénédictions et organiser des cérémonies occasionnelles, principalement pour les visiteurs locaux.

Ici aussi, les gens donnent de l’argent au temple et achètent des amulettes.

Ce lieu fait également office de musée racontant l’histoire de la construction du Grand Bouddha.

Vous pouvez acheter des collations et des boissons tout au long du parcours, mais aucun alcool n’est autorisé.

Le Grand Bouddha de Phuket a vu le jour en 2004 lorsque la première pierre a été posée par le général Phijit Kulawanich, conseiller privé, le 22 mai 2002.

Le nom officiel est « Bouddha Phraphutthamingmongkhol-akenagakhiri », ce qui signifie « Bonheur au sommet de la montagne Nakerd ».

Une tenue correcte est exigée.

L’adresse est : Karon, Mueang Phuket District.

L’entrée est gratuite pour tous.

3. Le Phuket Elephant Sanctuary

C’est le premier sanctuaire d’éléphants à Phuket.

Ouvert en 2016, il fait office de refuge pour les éléphants à la retraite, malades, blessés, fatigués ou tout simplement en fin de vie.

C’est une sorte de maison de retraite pour éléphants où ces derniers jouissent d’une liberté totale établie sur un terrain de 10 hectares de jungle tropicale luxuriante..

Promenez-vous, admirez-les et nourrissez-les d’ananas et de bananes. Observez-les tandis qu’ils parcourent librement le domaine du sanctuaire, se socialisent entre eux et se baignent dans des grands bassins d’eau douce, tout en se couvrant d’une boue épaisse, comme ils le feraient à l’état sauvage. 

Le sanctuaire des éléphants de Phuket est axé sur les éléphants « à risque » qui ont travaillé auparavant toute leur vie dans le tourisme et l’exploitation forestière.

De plus, l’accent est vraiment mis sur la liberté des éléphants où c’est le visiteur qui doit s’adapter à leur train de vie et non l’inverse.

L’adresse est : 100, Moo 2, Paklok, Thalang.

Le prix d’entrée est gratuit pour les – de 4 ans, 1.800 THB (+/- 45,75 €) pour les 4 – 10 ans et 2.400 THB (+/- 61 €) à partir de 11 ans.

La visite dure 4 h le matin ou l’après-midi…

4. Le musée Thai Hua

Le musée Thaï Hua est dans un manoir de style colonial britannique de 1934 présentant l’histoire des premiers immigrants chinois en Phuket.

Ce bâtiment longtemps négligé était autrefois la plus ancienne école de langue chinoise de Phuket.

Vous découvrirez toutes les personnalités importantes qui ont influencé le cours de l’histoire de Phuket au cours des siècles passés, y compris plusieurs familles chinoises encore importantes aujourd’hui.

Découvrez ce qui les a amenés à Phuket et quel était le commerce dans le passé, fortement influencé par l’exploitation minière de l’étain.

Le musée Thai Hua a été construit en 1917 et était autrefois une école appelée d’abord « école Phuket Huabun », puis « école Ratjunhua », jusqu’à ce qu’elle reçoive son nom actuel « école Thai Hua ».

Le musée consacre une grande section au vieux Phuket sino-portugais et à l’architecture des nombreuses belles demeures mais aussi comment les gens ont construit et géré des restaurants, des magasins et même une maquette à l’échelle d’un magasin sino-portugais typique et visitent une salle de classe du passé.

Une salle décrit tous les événements et festivals importants de Phuket tels que le célèbre et bizarre Festival végétarien de Phuket et comment tout a commencé en 1825.

L’adresse est : 28 Krabi Road, Phuket Town, Talat Nuea, district de Mueang Phuket.

Le prix d’entrée est de 200 THB (+/- 5 €) pour tous et 200 THB supplémentaire si vous souhaitez prendre des photos.

5. Le sanctuaire de la lumière sereine

Le sanctuaire de la lumière sereine, appelé Ting Kwan Tang en chinois et Saeng Tham en thaï, a été construit en 1889 par une famille chinoise et possédait initialement deux entrées cachées.

L’entrée principale était une porte étroite d’apparence anonyme menant à une passerelle anonyme et délabrée située sur Phang Nga Road, non cachée, mais personne ne prêtait attention à ce qu’il y avait derrière.

La deuxième entrée, cependant, était plus amusante : elle se cachait derrière les toilettes d’un restaurant local appelé Wilai.

Niché au fond d’une ruelle, ce sanctuaire pittoresque s’orne :

  • de gravures murales taoïstes
  • d’un plafond voûté taché par les volutes d’encens
  • d’un autel décoré de fleurs coupées et de bougies.

L’adresse est : 72/1 Yaowarat Rd, Amphoe Mueang Phuket.

L’entrée est gratuite pour tous.

Sans oublier :

  • Patong
  • La Thalang Road
  • Le manoir du « Blue Elephant Mansion »
  • Le sanctuaire Jui Jui
  • La Clock Tower
  • Le Phuket Museum
  • La Phang Nga Road
  • Le sanctuaire Bang Niew
  • Le musée de la philatélie
  • Faire du tubing
  • Faire du rafting
  • Faire du quad
  • Faire du buggy
  • Faire de la tyrolienne au Flying Hanuman
  • Le marché du dimanche
  • Le Chillva Night Market Phuket
  • Le Buntai Market
  • Monkey Hill
  • Cascade de Bang Pae
  • Freedom Beach
  • Kata Beach
  • La plage de Karon
  • Nai Harn Beach
  • Laem Singh Beach
  • La plage de Ya Nui
  • La plage de Kamala
  • La plage de Surin
  • La plage de Bangtao
  • Banana Beach

De quoi passer de bonnes vacances !

Pommes de terre rôties aux oignons

Un accompagnement facile à faire !

  1. Ingrédients (Pour 6 personnes)
  • 600 gr de pommes de terre grenaille
  • 6 oignons rouges
  • 450 gr de crème épaisse
  • 1 citron
  • 3 brins d’aneth
  • 3 brins de persil plat
  • 3 cuillères à soupe de vinaigre balsamique
  • Huile
  • Sel
  • Poivre

2. Préparation

  • Couper les pommes de terre en 2.
  • Répartir sur une plaque recouverte de papier cuisson et les arroser de 3 cuillères à soupe d’huile d’olive, saler et poivrer.
  • Eplucher les oignons rouges et les couper en 2.
  • Ajouter les oignons aux pommes de terre, côté arrondi vers le bas.
  • Arroser d’une cuillère à soupe d’huile d’olive et du vinaigre balsamique, saler et poivrer.
  • Faire cuire pendant 35 minutes dans un four préchauffé à 200°C (Thermostat 7).
  • Dans un bol, mélanger la crème épaisse avec le zeste et le jus du citron, saler et poivrer.
  • Ciseler l’aneth et le persil.

Conseil de présentation : Dans une assiette, répartir la crème épaisse, ajouter les pommes de terre et les oignons rouges, terminer avec les herbes ciselées et un filet d’huile.

Petit conseil : Délicieux avec du poulet rôti.

3. Infos pratiques

  • Difficulté : Facile
  • Préparation : 20 minutes
  • Cuisson : 35 minutes
  • Budget : Pas cher

Bon appétit !

Comment empêcher le vol de vélos

Le beau temps arrive et avec lui le fléau que représente le vol de vélos…

Cela peut être anecdotique mais pas du tout car cela représente une certaine somme pour les victimes ainsi qu’un moyen de déplacement au quotidien.

Voici quelques systèmes afin de minimiser le risque de vol :

  • Le basique : Il s’agit d’un système pas cher (+/- 20 €) avec un code. Il est peu encombrant lorsque vous roulez car vous pouvez le mettre dans votre poche.
  • La chaîne : Il existe différents niveaux mais au-dessus de 5, cela devient très difficile à enlever… Il faudrait une disqueuse pour la voler. Cela a un certain budget puisque cela coûte environ 110 €.
  • Le cadenas flexible : Le métal du cadenas est entouré d’une matière caoutchouc, ce qui permet de ne pas griffer le vélo. On le place de manière à ce que le cadre et la roue deviennent solidaires avec un poteau. Il faut compter environ 100 € pour un simple et 170 € avec une alarme.
  • Le cadenas en « U » : Plus il est épais et plus il est difficile à casser. Pour cela, il vous faudra débourser environ 40 €.
  • Le verrou de roue : Peu encombrant, il empêche le vélo de rouler et n’est pas très cher (+/- 20 €).
  • La puce : Il s’agit d’une puce intégrée dans le porte-bidon voire la lampe, le pédalier ou le tube de selle. L’achat de l’équipement coûte +/- 150 € plus 40 € pour l’abonnement annuel, donc assez cher. En cas de vol, vous pourrez localiser votre vélo.

Prenez soin de votre vélo !

Comment prendre soin de ses intestins

L’intestin est un organe sous-estimé de beaucoup mais qui a un grand impact sur notre santé.

En effet, c’est dans l’intestin grêle (qui mesure entre 4 et 6 mètres de long) que se fait la digestion.

C’est là que les aliments sont décomposés en très petites particules afin d’être absorbés dans le sang.

Ce n’est pas pour rien qu’on surnomme les intestins le « deuxième cerveau ».

Et plus votre intestin est sain et meilleure est votre humeur…

Voici quelques conseils afin d’en prendre soin :

  • Manger varié : Cela paraît simple et pourtant… Pour cela, il faut veiller à avoir une alimentation variée chaque jour comprenant des légumes, des fruits, des protéines (Viande, volaille, poisson, …) et des glucides (Pâtes, pain, pommes de terre, riz, …).
  • Eviter les produits transformés et sucrés : Eviter les biscuits, les sucreries, les charcuteries car ils permettent aux mauvaises bactéries de s’installer plus facilement dans votre intestin.
  • Manger des aliments riches en probiotiques : Privilégier les yaourts fermentés, la choucroute, les cornichons, … plutôt que de prendre des compléments alimentaires vendus en pharmacie.
  • Manger calmement : C’est très important pour les intestins et la digestion car plus vous mâchez et mois votre estomac doit travailler vos aliments.
  • Bouger plus : Outre l’alimentation saine, l’exercice physique est essentiel à la bonne santé des intestins. Donc, n’hésitez pas à marcher, à faire du vélo ou même du yoga…
  • Boire beaucoup : Il est primordial de boire 2 litres d’eau par jour. Evidemment, cela peut être de l’eau, du thé, du café ou de l’eau aromatisée avec des fruits ou des herbes.
  • Repos et détente : Le repos et la détente constituent un élément essentiel d’une bonne digestion. En effet, la fatigue et le stress peut perturber le système digestif et vous vous sentirez ballonnée. Il est donc primordial de faire une petite pause après avoir mangé et de bonnes nuits de sommeil.

Prenez soin de vous et de vos intestins !

Pâtes grecques aux scampis

Une recette venue de Grèce facile à faire !

  1. Ingrédients (Pour 6 personnes)
  • 375 gr de pâtes grecques (Orzo)
  • 750 gr de scampis
  • 3 échalotes
  • 3 gousses d’ail
  • 6 blancs de poireaux
  • 190 gr de mozzarella
  • 300 gr de fromage frais
  • 30 cl de vin blanc sec
  • 1 brin de persil plat
  • 2 cuillères à café de graines de fenouil
  • Huile
  • Sel
  • Poivre

2. Préparation

  • Faire cuire les pâtes grecques dans une casserole d’eau bouillante.
  • Eplucher et émincer l’ail.
  • Couper les blancs de poireaux en rondelles.
  • Couper la mozzarella en tranches.
  • Faire revenir les scampis dans un peu d’huile jusqu’à ce qu’ils soient cuits, saler et poivrer.
  • Dans la même poêle, faire revenir les échalotes, l’ail et les rondelles de poireaux pendant 7 minutes.
  • Ecraser et ajouter les graines de fenouil et laisser cuire pendant 2 minutes.
  • Ajouter le fromage et le vin, saler, poivrer et laisser réduire 5 minutes.
  • Incorporer les pâtes dans la sauce.
  • Verser le tout dans un plat allant au four et déposer les scampis et la mozzarella.
  • Faire cuire pendant 25 minutes dans un four préchauffé à 180°C (Thermostat 6).
  • Décorer de persil.

3. Infos pratiques

  • Difficulté : Facile
  • Préparation : 20 minutes
  • Cuisson : 50 minutes
  • Budget : Pas cher

Bon appétit !

Besoin de vacances ? PISE?

Pise est une ville italienne d’environ 90 000 habitants, chef-lieu de la province de même nom en Toscane, sur le fleuve Arno.

Elle compte 88.737 habitants au 1er juillet 2023 pour 185,07 km².

Les incontournables à visiter à Pise sont :

  1. La tour

Il a fallu trois phases et 177 ans pour construire la Tour de Pise.

L’architecte Bonanno Pisano commence la construction en 1173 avec le premier étage qui était entouré de 15 colonnes en marbre blanc avec des chapiteaux classiques et arcs aveugles.

Avec la construction du troisième étage en 1178, la tour s’inclina de 5 cm. au sud-est, en raison du sous-sol instable sur lequel elle avait été élevée, cessant ainsi sa construction.

Giovanni di Simone, 100 ans plus tard, reprend les travaux en essayant de compenser l’inclinaison de la tour en construisant verticalement quatre étages, mais les résultats n’ont pas été comme prévu, le clocher était encore incliné et les travaux s’arrêtaient à nouveau.

En 1298, un écart de 1,43 mètre a été mesuré et 60 ans plus tard, il atteignait 1,63 mètre.

Tommaso Pisano poursuivit la construction de la tour et la finit en 1372.

L’architecte Alessandro Gherardesca fait la première restauration en 1835 en éliminant le sol boueux et le remplaçant par une base de marbre.

Le résultat fut terrible et provoqua une nouvelle inclinaison et en 1918 la déviation de la ligne de plomb atteignit 5,1 mètres.

Jusqu’en 1990, l’inclinaison de la tour a continué d’augmenter de 1 à 1,2 mm chaque année.

La Tour de Pise mesure 55,86 mètres de haut avec un poids estimé de 14.700 tonnes et une inclinaison d’environ 4 °.

Elle a 8 étages et environ 294 marches.

Ils sont entourés par une loggia avec des arcs qui reproduisent le motif de la façade de la Cathédrale.

Elle a 7 cloches au dernier étage dont les noms sont:

  • Assomption, la plus grande et plus lourde
  • Crucifix
  • San Ranieri
  • Dal Pozzo
  • Pasquereccia
  • Troisième
  • Vespruccio

L’adresse est : Piazza del Duomo.

Le prix d’entrée est de 25 € par personne mais comprend aussi l’entrée à la cathédrale et les fonts baptismaux de Saint Giovanni.

Les épaules et les genoux doivent être couverts pour la visite de ces 3 lieux.

2. La cathédrale Notre-Dame de l’Assomption

Commencée en 1063 par l’architecte Buscheto, elle mêle différents éléments stylistiques : classique, lombard-émilien, byzantin et islamique, reflétant la présence internationale des marchands pisans de l’époque.

La cathédrale est un exemple très particulier d’architecture dont l’intérieur rappelle les grandes mosquées islamiques grâce à l’utilisation d’arcs segmentaires, à l’alternance de bandes de marbre noir et blanc et à l’inhabituelle coupole elliptique, d’inspiration mauresque. 

Le plafond à caissons doré du XVIIème siècle est l’œuvre des Florentins Domenico et Bartolomeo Atticciati.

Au point de rencontre entre les transepts et le corps principal se trouve la coupole, ornée d’une fresque représentant la Vierge en gloire et des saints, réalisée par les artistes pisans Orazio et Girolamo Riminaldi (1627-31).

Les colonnes de granit de style corinthien entre la nef et l’abside proviennent de la mosquée de Palerme, butin de la bataille de La Cala par les Pisans en 1063.

La grande mosaïque de l’abside représentant le Christ trônant entre la Vierge et Saint Jean est célèbre pour le visage de saint Jean dessiné par Cimabue en 1302, miraculeusement survécu à l’incendie de 1595.

La Cathédrale abrite également la Chaire de Giovanni Pisano (1302-1310) qui, en raison de sa structure architecturale articulée et de sa décoration sculpturale complexe, constitue l’un des récits par images les plus importants du XIVe siècle.

Les panneaux représentent des épisodes de la vie du Christ.

Les 27 peintures qui recouvrent la tribune derrière le maître-autel, représentent des Épisodes de l’Ancien Testament et des Histoires christologiques.

Elles ont été exécutées entre les XVIème et XVIIème siècles par certains des plus grands peintres toscans, dont Andrea del Sarto, Sodoma et Domenico Beccafumi.

Derrière la Cathédrale, se trouve son cimetière monumental appelé le Camposanto, où sont enterrés ses citoyens les plus importants.

L’adresse est : Piazza del Duomo.

3. Le baptistère de Saint Giovanni

Le splendide Baptistère de Pise, situé en face de la cathédrale, est dédié à saint Jean Baptiste.

La construction a été commencée en 1153 par Diotisalvi, l’architecte de l’église du Saint-Sépulcre.

Les travaux ont été interrompus puis achevés après un siècle par Nicola et Giovanni Pisano : c’est pourquoi l’édifice présente un mélange caractéristique de deux styles, roman et gothique.

Au centre du monument, il y a les magnifiques fonts baptismaux et, près de l’autel, la chaire de 1260 du grand Nicola Pisano, où sont sculptées des scènes de la vie du Christ et d’autres sujets symbolisant les vertus.

C’est ici qu’en 1564, Galilée a été baptisé.

Le Baptistère Saint Jean est en fait penché lui-même à cause du terrain mou sur lequel les monuments de la Piazza dei Miracoli sont construits.

Son inclinaison n’est qu’à un angle de 0.6 degrés en direction de la cathédrale.

L’adresse est : Piazza del Duomo.

4. Les remparts

La construction du premier lot a commencé en 1154 dans la zone qui abrite actuellement la Piazza dei Miracoli.

Le site n’a pas été choisi par hasard, les murs étaient destinés à protéger non seulement la cathédrale et le futur baptistère mais aussi le point le plus vulnérable d’un point de vue militaire, à savoir le pont sur l’Auser au nord-ouest de la ville. 

Cette première bande de murs, érigée au nord de la ville de 1155 à 1161, a été construite en pierre calcaire grise, connue sous le nom de marbre de San Giuliano, tandis que pour les murs érigés dans les phases ultérieures, jusqu’en 1346, c’est de la pierre gris rosé d’Asciano qui a été utilisée.

Après des années de restauration, il est désormais possible de franchir ces impressionnants murs, en suivant un chemin de trois kilomètres de long.

En chemin, vous pourrez voir des tours et des bastions et franchir les quatre principales portes d’accès à la ville :

  • Porta Nuova
  • Porta a Lucca
  • Porta San Zeno
  • Porta Calcesana

L’adresse est : Via Contessa Matilde, 76.

Le prix d’entrée est gratuit pour les – de 18 ans et 5 € à partir de 18 ans.

5. Le Palais bleu

Le Palazzo Blu (Palais bleu) est un centre d’expositions temporaires et d’activités culturelles, situé sur le Lungarno sud, au cœur du centre historique de Pise.

Le noyau principal du palais remonte au XVIème siècle, mais c’est au milieu du XIXème siècle qu’il a acquis son aspect actuel.

La coloration bleue particulière de la façade a été restaurée en utilisant la technique « a fresco » typique de l’époque.

Cet incroyable espace culturel a accueilli des œuvres de certains des artistes les plus célèbres de tous les temps, dont Magritte, Duchamp, Kandinsky, Picasso, Warhol et bien d’autres.

Certaines salles du palais abritent le Musée d’art et de culture de Pise.

La collection comprend plus de 300 œuvres provenant de la collection de la Cassa di Risparmio di Pisa, qui ont ensuite été achetées pour documenter les artistes et les mécènes locaux.

Les peintures rassemblées datent du XIVème au XXème siècle, et sont des œuvres d’artistes tels que Cecco di Pietro, Nino Pisano, Benozzo Gozzoli, ainsi que de nombreuses œuvres graphiques.

L’exposition comprend également de nombreux témoignages archéologiques étrusques, romaines et hellénistiques.

L’adresse est : Lungarno Gambacorti, 9.

Le prix d’entrée est gratuit pour les – de 6 ans, 3 € pour les 6 – 18 ans, 5 € pour les 19 – 69 ans et 3 € pour les 70 ans et +.

Sans oublier :

  • L’Eglise Santa Maria della Spina
  • La Piazza dei Cavalieiri
  • La Borgo Stretto (rue commerçante)
  • Le parc Giardino Scotto
  • L’Orto Botanico (Jardin botanique)
  • Le Musée di San Matteo
  • La peinture murale Tuttomondo de Keith Haring
  • L’église San Piero
  • La place des Miracles
  • Le musée de la Sinopie
  • Le musée dell’ Opera del Duomo
  • L’église San Paolo a Ripa d’Arno
  • L’église de Sainte-Catherine
  • L’église di San Zenola
  • La rue Corso Italia
  • La Piazza Vittorio Emanuele
  • La plage Marina

De quoi passer de bonnes vacances !