Que faire quand votre partenaire a un passé tumultueux ?
Que ce soient une addiction, de nombreux(ses) partenaires, un traumatisme de l’enfance, ce n’est pas toujours facile pour vous…
Voici quelques conseils afin de vous aider à oublier les fantômes du passé :
Se connaître soi-même d’abord
Il est important de réaliser que nous avons toutes et tous un bagage derrière nous.
Cela nous aide à définir qui nous sommes, comment nous fonctionnons et pourquoi nous avons ces réactions.
Il est primordial pour le bien-être de votre couple de prendre conscience que votre passé peut avoir un impact sur votre présent.
2. Assumer ses torts
Il faut bien se rendre compte que vous ou votre partenaire ne pouvez pas changer ou réécrire votre passé…
Mais vous avez des options quant à ce que vous en faites.
Vous devez faire face à votre problématique vous-même, votre partenaire peut vous encourager mais ne pourra pas la régler à votre place.
3. En parler
Parler avec votre partenaire permettra de mieux vous connaître et d’aborder le passé de chacun.
Parler de votre passé rendra les choses plus susceptibles de rester dans le passé.
Par contre, il faut veiller à ne pas sans cesse remettre sur le tapis de vieux problèmes.
4. Creuser
Il est important d’examiner la façon dont l’autre a fait face aux difficultés du passé afin de le comprendre.
Nous savons tous que personne n’est parfait mais ce qui compte c’est la manière dont nous réagissons face à telle ou telle situation.
Si votre partenaire n’assume pas ses responsabilités ou remet la faute sur son entourage, il faut être prudent(e) car cela veut dire que votre partenaire n’a rien appris et pourrait recommencer.
5. Mettre dans le contexte
Dans les cas difficiles, comme un casier judiciaire par exemple, il est primordial d’examiner l’ensemble de l’histoire et de voir si votre partenaire se sent coupable ou non.
Si votre partenaire a subi un traumatisme, quelles mesures a-t’il / elle prise pour le surmonter ?
En découvrant le contexte et les conséquences de la situation, vous saurez s’il / elle a assez mûri.
6. Comprendre votre jalousie
Certaines personnes ont du mal à accepter le passé relationnel de leur partenaire.
Il faut bien se rappeler qu’il y a une raison pour laquelle votre partenaire a rompu avec cette personne.
Au lieu de vous montrer jalouse, demandez à votre partenaire pourquoi ça n’a pas fonctionné avec ses ex.
Surtout faites-vous confiance !
7. Vivre dans le présent
Il ne faut pas laisser le passé éclipser votre relation actuelle.
Vous pouvez envier son ex pour les moments passés ensemble mais il est primordial pour vous de réaliser que vous êtes ensemble maintenant.
Le plus important c’est d’écrire de nouvelles histoires à 2…
8. Poser un choix
Lorsque vous choisissez votre partenaire, vous choisissez aussi son passé.
Demandez-vous si vous pouvez vivre avec lui / elle ou si vous aurez toujours des doutes face à sa problématique.
Une fois cette décision prise, il s’agit d’accepter votre partenaire avec tout ce que ça implique et d’en tirer le meilleur parti.
Le mieux est simplement de tourner la page sur vos passés respectifs…
Un carton un peu trop lourd et … ouille, le dos se coince !
Voici quelques conseils pour réduire la douleur :
La chaleur
Afin de soulager la douleur, il est primordial d’appliquer une bouillotte sur la zone douloureuse pendant 15 minutes.
Vous pouvez faire cela 4 fois par jour.
Cela va détendre les muscles.
2. Le Swiss Ball
Il faut s’asseoir sur ce gros ballon, les pieds ancrés dans le sol.
Ensuite, il faut effectuer un mouvement de rotation doux et lent pour détendre les muscles paravertébraux.
C’est une posture que vous pouvez adopter lorsque vous travaillez !
3. Les massages
Nul de besoin de faire faire appel à un professionnel pour ce type de massage !
N’hésitez pas à demander à votre partenaire de pratiquer des frictions et des pressions douces sur la zone douloureuse.
4. L’acupuncture
L’acupuncture permet de faire circuler à nouveau l’énergie au niveau lombaire.
Cela va aussi aider à lever la contracture musculaire qui est à l’origine du blocage.
5. L’ostéopathie
L’ostéopathie est recommandée uniquement en phase de douleur prolongée, à savoir après 7 jours.
Plus de 80 % des patients sont soulagés après une seule séance.
Attention, la manipulation ne doit pas être douloureuse.
6. Les plantes
Saule blanc, curcuma, valériane, scrofulaire, harpagophytum sont des plantes qui ont des propriétés anti-inflammatoires et antalgiques naturelles.
N’hésitez pas à vous adresser à votre médecin traitant ou à votre pharmacien pour bien les utiliser.
7. Les exercices pour le dos
Pour atténuer les douleurs, rien de tel que de faire des exercices de kinésithérapie mais… à domicile.
Pour cela, n’hésitez pas à faire des gainages, des étirements, du renforcement de la musculature du dos et des abdominaux.
Le yoga et le Pilates sont aussi d’excellents accompagnements pour soulager les lumbagos.
Il y a 3 règles d’or à respecter lorsqu’on a un lumbago :
Rester actif(ve) : Afin de ne pas ankyloser le dos, il est primordial de continuer à mener ses activités quotidiennes même si la douleur est vive.
Revoir son hygiène de vie : Arrêter de fumer, équilibrer son alimentation, limiter le surpoids, pratiquer une activité physique régulière et bien dormir garantissent un dos en bon état et limitent la venue de douleurs.
Prendre garde au stress : La plupart du temps, le mal de dos est lié à l’anxiété et au surmenage.
Par contre, les pièges à éviter lors d’un lumbago sont :
Les corsets et ceintures lombaires : Portés en continu, ils ont tendance à aggraver la situation et fragiliser la musculature des os.
Les traitements passifs : Les benzodiazépines comme le Vallium ne sont pas recommandées en raison d’effets secondaires tels que la dépendance et la somnolence.
Un effort trop important : Il faut éviter les charges lourdes qui favorisent les poussées douloureuses.
Plouarzel est un bourg qui se situe dans le département du Finistère et qui compte 3700 habitants pour 42,83 km².
C’est un endroit idéal pour les amoureux de la nature…
Les incontournables à visiter à Plouarzel sont :
Le phare du Trézien
Du haut de ses 37,20 mètres, le phare de Trezien éclaire le large jusqu’à 32 km.
Érigé en 1894, il se dresse à 500 m du rivage.
La tour est tronconique et est peinte en blanc du côté de la mer pour servir d’amer.
Prenez votre temps pour gravir les 182 marches de l’escalier qui se faufile dans la tour de maçonnerie en pierres de taille en granit, provenant de l’Aber Ildut.
Il vous donnera accès à un formidable panorama.
Il émet une lumière blanche toutes les 3 secondes.
Depuis 1944, il se dit qu’un obus est enfoui au pied du phare de Trézien.
Le doute persiste encore aujourd’hui mais il est certain que la tourelle a échappé de peu à la destruction cette année-là.
L’adresse est : route du Phare, 132.
Le prix d’entrée est : gratuit pour les – de 5 ans, 2,50 € pour les 5 – 11 ans et 5 € à partir de 12 ans.
2. La pointe de Corsen
C’est la pointe la plus occidentale de la France métropolitaine en dehors des îles du Ponant.
Elle délimite théoriquement la Manche de l’Océan Atlantique.
Du sud au nord, vous y découvrirez un panorama sur la mer d’Iroise : les phares, les feux, l’archipel de Molène et l’île d’Ouessant.
Une table d’orientation permet de se repérer (des panneaux indiquent la direction de Paris… et de New York, à 5 375 km).
De nombreuses ballades sont possibles sur le sentier côtier faisant 12,20 km et longeant la mer.
L’entrée est gratuite pour tout le monde.
3. Le menhir de Kerloas
Datant d’environ 4000 ans, le menhir de Kerloas (bossu en breton) est, jusqu’à preuve du contraire, le plus haut mégalithe actuellement debout au monde.
Sa hauteur au-dessus du sol naturel est de 9,50 m.
Cependant, la hauteur originelle de ce monolithe était bien plus importante et devait dépasser les 10 m.
En effet, au XVIIIème siècle, il fut victime de la foudre qui en tronqua la partie sommitale et les principaux morceaux qui gisaient à son pied furent utilisés, l’un pour la fabrication d’une auge, l’autre comme pierre d’entrée de champ.
La circonférence du menhir, au niveau du sol, est de 6,20 m ; à 1,20 m de hauteur elle est de 6,70 m ; à 3,65 m elle est de 6,96 m, puis la pierre devient plus fine ; à 5 m, la circonférence est de 6,45 m et à 6 m elle passe à 5,95 m.
Le poids du menhir est estimé à 150 tonnes.
Il est surnommé le bossu, à cause de deux bosses qui se situent de part et d’autre du menhir.
Les deux saillies d’une trentaine de centimètres, étaient jadis l’objet d’un rite de fécondité.
Les nouveaux mariés venaient nus se frotter le ventre contre les bosses du menhir, la femme d’un côté, le mari de l’autre.
L’homme était certain d’avoir une descendance mâle, la femme de gouverner son époux à sa guise.
En 1911, Guénin rapporte également que le mégalithe était réputé avoir un pouvoir de guérison et que des malades venaient secrètement se frotter aux bosses du menhir dans l’espoir d’être guéris.
Ce même auteur nous apprend aussi que c’est une « bonne femme » qui l’apporta dans son tablier…
D’autres personnes l’attribuent à Gargantua qui le mit en place ainsi que tous les blocs de granit qui parsèment les champs de Plouarzel, pour se venger des habitants de la paroisse car ils ne lui avaient donné à manger que de la bouillie.
La légende dit aussi qu’un trésor serait caché, visible uniquement pendant la nuit de Noël.
Cette légende dit qu’au premier coup de minuit les menhirs couraient s’abreuver à l’océan.
Mais, lorsque sonnait le douzième coup, ils avaient déjà repris leur place, stoïques, immobiles, insensibles aux attaques du temps.
Et malheur aux imprudents qui, éblouis par les richesses dévoilées, avaient oublié l’heure; ils étaient écrasés…
Il est classé Monument historique depuis le 25 septembre 1883.
L’entrée est gratuite pour tout le monde.
4. La chapelle Saint-Eloi
Cette chapelle est située dans un cadre idyllique qui domine l’Aber-Ildut.
Il y a là une source, un calvaire et la chapelle elle-même dont le mur-clocher est flanqué d’un abri à offrandes doté d’une table et d’un banc en granite.
L’édifice date du XIXe siècle, mais il a remplacé une ancienne construction du XVIe.
Située à l’origine dans une propriété privée, elle a été donnée à la Fabrique en 1837. En 1855, c’est la fontaine qui fit l’objet d’un don analogue.
A l’entrée du site, le panneau apposé par la Communauté de communes indique que ce lieu est dédié à Saint Eloi, protecteur des chevaux.
Et en effet, la statue de Saint Eloi trône sur la façade de l’édifice, au-dessus du portail.
Coiffé d’une mitre d’évêque, le prélat tient en ses mains la pince et le marteau, attributs usuels d’un maréchal-ferrant.
Chaque année, le dernier dimanche de juin, le pardon des chevaux attire à la chapelle St-Eloi de nombreux fidèles.
Devant l’assistance, chevaux et cavaliers doivent effectuer plusieurs tours de la chapelle et leur propriétaire déposer une offrande dans l’aubette de la façade.
Puis ils se rendent à la source où les chevaux reçoivent sur le col et sur la croupe une écuelle de son eau.
Enfin ils doivent effectuer saut de Saint Alar par-dessus le ruisseau.
Alors que pour un humain ce franchissement s’effectue aisément d’un seul pas, il n’est pas évident pour le cheval qui doit effectuer ce bond.
Sainte Brigitte, à laquelle est dédiée cette fontaine, attribue, paraît-il, une généreuse descendance aux montures ayant triomphalement accompli leur saut.
Et grâce aux pardons annuels, il est réconfortant de voir que cette tradition, qui puise ses racines dans la nuit des temps, perdure encore de nos jours de manière bien vivante.
L’entrée est gratuite pour tout le monde.
5. Les carrières de l’Aber Ildut
Plusieurs panneaux explicatifs vous feront découvrir les carrières de granit le long de l’aber Ildut, la vie des hommes à cette époque, les outils et le travail du granit…
L’actuelle maison en ruine abritait une forge au rez-de-chaussée, où l’on confectionnait et réparait les outils de taille, ainsi que des bureaux à l’étage.
Les carriers exploitaient à l’arrière le versant du plateau descendant vers l’Aber Ildut, le long d’un front de taille formant une falaise d’une dizaine de mètres de hauteur.
Les pierres débitées et taillées sur place sous un hangar étaient ensuite transportées par voie maritime grâce au quai qui fait face à la maison en ruine.
De nombreuses gabarres à voiles de la région ont effectué ainsi pendant des années le transport du granite des carrières avoisinantes vers Brest ainsi que vers les ports de Bordeaux, Cherbourg, Le Havre, Rouen, Paris et Dunkerque.
Pendant la seule année 1905, on a dénombré 1215 navires dans le port de l’Aber-Ildut, qui ont chargé 45468 tonnes de granite.
Cette roche a aussi servi à la construction des quais de Londres. Elle fut un moteur pour toute l’économie locale pendant plusieurs siècles.
L’adresse est : Kerglonou.
L’entrée est gratuite pour tout le monde.
Sans oublier :
Le Guilliguy
La Chapelle Saint-Yves
L’Eglise Notre-Dame de Trézien
L’Eglise Saint-Arzel
Le colombier de Lanhalla
Le port de l’Aber Ildut
Le port de Lanildut
Le phare Saint-Mathieu
Le phare de Kermovan
La plage de Porsévigné
La plage de Porsman
Le GuilliguyLa chapelle Saint-YvesL’Eglise Notre-Dame du TrézienL’Eglise Saint-ArzelLe colombier de LanhallaLe port de l’Aber IldutLe port de LanildutLe phare Saint-MathieuLe phare de KermovanLa plage de PorsévignéLa plage de Porsman
Nettoyer les choux de Bruxelles et les couper en deux.
Les mélanger avec la chapelure, l’ail en poudre, un filet d’huile, sel et poivre.
Les faire cuire dans un four préchauffé à 220°C (Thermostat 7) pendant 25 minutes.
Dans une casserole, porter le lait de coco à ébullition avec 250 ml d’eau.
Y faire cuire le riz pendant 12 minutes.
Eplucher l’ail et le tailler grossièrement.
Epépiner et hacher le piment.
Au robot, mixer la crème de coco avec les noix de cajou, l’ail, le piment, la sauce soja et 100 ml d’eau.
Faire chauffer la sauce pendant 4 minutes dans un poêlon.
Incorporer le zeste d’un citron râpé au riz.
Conseil de présentation : Répartir le riz dans les assiettes, ajouter les choux de Bruxelles, napper de sauce, terminer avec les graines de sésame, la coriandre et des quartiers de citron vert.
N’hésitez pas à servir cela avec un morceau de poisson…
Faites-vous partie des filles qui se font de nouvelles copines dès qu’elles mettent un pied dehors ?
Si oui, pas de soucis…
Si non, voici quelques conseils afin d’être une fille sociable et vous faire quelques copines :
N’hésitez pas à entamer une conversation avec quelqu’un que vous croisez régulièrement (cours de zumba, train, papa / maman du même club de foot que votre fils / fille).
Sortez en groupe : cela inspire plus de confiance à la personne avec laquelle vous allez entamer une conversation.
Acceptez les invitations où vous ne connaissez personne ou presque personne, cela vous obligera à vous diriger vers les gens (Job day, After work, …).
Acceptez les sorties : chacune est l’occasion de faire de nouvelles rencontres.
Provoquez les rencontres : n’hésitez pas à entamer une conversation avec la personne qui est devant ou derrière vous dans une file d’attente, à votre voisine de table au restaurant, …
Intéressez-vous aux autres : n’hésitez pas à vous intéresser à ce que fait la personne avec laquelle vous êtes en train de communiquer.
Souriez car le sourire ne coûte rien mais il provoque beaucoup pour la personne qui le reçoit et cela facilitera l’envie de cette personne de venir vous parler.
Osez vous montrer vulnérable : les plus belles amitiés naissent lorsqu’on ose se montrer telle qu’on est et inversément.
Ne vous mettez pas la pression : Plus on est obsédée par l’idée de se faire des ami(e)s, moins on y arrive ! Restez dans le naturel et le rapprochement va se faire en douceur.
C’est le moment où vous ne voulez pas croire au décès de la personne.
Cette période est plus ou moins longue en fonction des personnes. Certaines personnes ne vont pas toucher aux affaires de la personne décédée durant plusieurs mois, d’autres vont directement les ranger ou les donner…
La colère
La colère est la troisième étape du deuil.
C’est le moment où on est en colère contre la personne décédée, contre soi ou contre les autres.
Cette colère peut se manifester via des mots, des gestes ou alors vous vous plongez dans un profond mutisme.
Vous vous reprochez ou aux autres de n’avoir rien pu faire pour empêcher cela (en cas de suicide par exemple).
La tristesse
La tristesse est la quatrième étape du deuil.
C’est le moment où vous vous demandez ce que vous allez devenir.
Cela peut amener à une dépression.
La résignation
La résignation est la cinquième étape du deuil.
C’est le moment où vous comprenez que la personne qui est décédée ne reviendra pas, qu’elle est partie pour toujours.
L’acceptation
L’acceptation est la sixième étape du deuil.
C’est le moment où vous acceptez la perte de la personne.
Vous vous concentrez sur les bons moments passés avec cette personne.
La reconstruction
La reconstruction est la septième et dernière étape du deuil.
C’est le moment où vous reprenez confiance en vous et où vous voyez un avenir sans cette personne.
2. Les 10 conseils pour faire son travail du deuil
Donnez-vous le temps d’accepter le décès d’un proche.
Acceptez de souffrir suite à cette perte.
Confiez-vous à votre famille ou vos amis pour dire ce que vous ressentez en mettant des mots sur vos sentiments.
Continuez à vivre, sortez avec votre famille ou vos amis pour penser à autre chose.
Soutenez ceux qui partagent votre douleur car eux aussi ont perdu ce proche.
Eloignez-vous momentanément des personnes qui ne comprennent pas votre tristesse.
Essayez de ne pas culpabiliser en vous disant que vous auriez dû faire plus de choses avec cette personne, …
N’hésitez pas à vous faire aider par un psychologue si votre deuil dure trop longtemps et que vous n’arrivez pas à faire partir la colère que vous avez en vous ou si vous n’arrivez pas à passer l’étape du déni.
Allez faire du sport, refaites la déco dans votre maison, devenez bénévole dans une association afin de vous vider la tête et penser à autre chose.
Le plus important, ne faites pas semblant d’aller bien…
Au sud de la Finlande, la capitale Helsinki occupe une péninsule du golfe de Finlande.
Avec environ 674 000 habitants, elle est la plus grande ville de Finlande.
La ville a la plus forte population immigrée de tout le pays avec plus de 130 nationalités qui y résident.
Elle s’étale sur une presqu’île entourée d’un grand nombre d’îles et est fortement caractérisée par la présence de l’eau.
Helsinki est un port marchand ouvert sur le golfe de Finlande.
Les incontournables à visiter à Helsinki sont :
Le Palais Présidentiel
Le palais a été achevé en 1845, bien que les réparations devaient être effectuées de temps en temps car il était principalement vide et n’était pas régulièrement chauffé.
Il a été visité pour la première fois par un membre de la famille impériale en 1851.
Le visiteur était le jeune héritier apparent Alexander Nikolayevitsh (plus tard le tsar Alexandre II).
Pendant le règne d’Alexandre II, le palais a eu son temps le plus brillant.
Le tsar visite la ville à trois reprises (1856, 1863 et 1876), séjournant chaque fois au palais.
Avec la mort d’Alexandre II est arrivé à la fin pour toujours des festivités impériales dans le palais.
Dans les conditions politiques aggravées de la Première Guerre mondiale, la résidence a été transformée en hôpital militaire du Sénat finlandais.
Le Palais présidentiel devint la résidence officielle de tous les présidents de Finlande en 1919.
Il possède des appartements privés et des salles de réception pour le président au troisième étage, dont différents salons et le cabinet de travail du président.
Le palais loge également les services de la présidence : le secrétariat général, les conseillers et la maison civile.
Les parties officielles du palais comprennent :
La salle de l’État
La salle à manger
La galerie des Glaces
Elles sont utilisées par le président pour ses fonctions officielles et les réceptions.
Il s’agit notamment de la cérémonie de promotion et de nomination des Forces armées et des cadets des Gardes-frontières, des banquets d’État, et de la réception donnée lors de la Fête de l’Indépendance.
L’adresse est : Mariankatu 2.
L’entrée est gratuite pour tout le monde.
2. La cathédrale Tuomiokirkko
La cathédrale se dresse, blanche et majestueuse, en haut des escaliers de la place du Sénat.
Sa construction a débuté en 1830 pour s’achever en 1852, sous les ordres de Ernst Bernhard Lohrmann, le successeur de Engel.
Il bâtit quatre petits dômes pour rappeler le modèle cathédrale Saint-Isaac de Saint-Pétersbourg.
Ernst Bernhard Lohrmann érige aussi deux clochers et des statues des Douze Apôtres.
L’intérieur sobre, murs blancs et bancs en bois, met en valeur l’orgue incurvé.
Le retable est peint par Carl Timoleon von Neff et offert à la paroisse par Nicolas Ier.
La crypte de la cathédrale est rénovée dans les années 1980 par Vilhelm Helander et Juha Leiviskä.
L’adresse est : Unioninkatu 29.
Le paiement de la visite est volontaire.
3. Le musée Kiasma
Logé dans un magnifique édifice conçu par Steven Holl et achevé en 1998, le musée abrite des collections d’art contemporain.
Le musée Kiasma se distingue par son engagement à repousser les frontières traditionnelles des musées d’art plus classiques, en mettant en avant l’originalité dans le choix de ses expositions.
Chaque année, il enrichit sa collection de près d’une centaine d’œuvres, aussi bien nationales qu’étrangères.
La salle X met en lumière les créations les plus récentes, tandis que la section Printti met l’accent sur les arts graphiques.
Au rez-de-chaussée, vous trouverez aussi un café-restaurant très plaisant.
Le musée Kiasma propose également une salle de spectacle où sont régulièrement présentés des événements liés aux diverses formes contemporaines des arts du spectacle, comme la danse, le théâtre et la musique.
L’adresse est : Mannerheiminaukio 2.
Le prix d’entrée est gratuit pour les – de 18 ans et 20 € pour les 18 ans et +.
4. La cathédrale orthodoxe Ouspenski
Sur l’île de Katajanokka s’élève ce superbe héritage de la domination russe : la cathédrale orthodoxe Ouspenski.
Massive pièce monté de brique rouge aux toits vert-de-gris coiffés de clochetons dorés, qui offre un contraste saisissant avec la blancheur de la cathédrale luthérienne.
Elle date du milieu du XIXe siècle et est une création de l’architecte Alexis Gornostaiev.
Sur ordre de l’empereur Alexandre II de Russie, souverain du Grand-Duché de Finlande, elle est construite entre 1862 et 1868, année de sa consécration.
Elle est dédiée à la Dormition de Marie mère de Dieu (ce qui dans l’orthodoxie, correspond à l’Assomption de la Vierge du catholicisme).
Elle reflète également la tolérance des Finlandais à l’égard des autres croyances.
Avec l’orientation de l’axe principal vers l’est et les tours bien visibles, la cathédrale d’Uspenski présente des caractéristiques typiques des édifices religieux orthodoxes.
Il en va de même pour l’aménagement de l’intérieur de l’église : Il n’y a ni bancs ni chaises, mais l’ensemble de l’espace est très magnifiquement meublé.
Quatre colonnes en granit massif soutiennent le dôme principal, qui est conçu comme un ciel étoilé.
De nombreuses mosaïques colorées décorent les murs intérieurs.
Les icônes, les peintures religieuses et les sacrements dorés sont également typiques d’une église orthodoxe.
L’adresse est : Pormestarinrinne 1.
L’entrée est gratuite pour tout le monde.
5. La forteresse de Suomenlinna
Construite dans la seconde moitié du XVIIIe siècle par les Suédois sur un groupe d’îles situées à l’entrée de la rade d’Helsinki, la forteresse constitue un exemple particulièrement intéressant de l’architecture militaire européenne de l’époque.
Les travaux ont été supervisés par l’amiral suédois Augustin Eherensvärd (1710-1772), qui a adapté les théories de Vauban aux caractéristiques géographiques très spécifiques de la région.
Le paysage et l’architecture de la forteresse ont été façonnés par plusieurs événements historiques.
Elle a servi à défendre trois états souverains différents au fil des ans : le Royaume de Suède, l’Empire Russe et plus récemment la République de Finlande.
Couvrant une superficie de 210 ha et se composant de 200 bâtiments et 6 km de fortifications, la forteresse s’étire sur six îles distinctes.
La forteresse originale a été construite en utilisant la roche locale et fortifiée à l’aide d’un réseau de bastions sur un terrain varié.
Après l’accession de la Finlande à l’indépendance en 1917, la forteresse fut renommée Suomenlinna (ou Forteresse de Finlande) et servit de garnison et de port.
Le rôle militaire de la forteresse déclina après la Deuxième Guerre mondiale et, en 1973, la zone fut convertie à un usage civil.
Aujourd’hui, Suomenlinna est une des attractions touristiques les plus populaires de Finlande et constitue un district d’Helsinki avec 850 habitants.
L’entrée est gratuite pour tout le monde.
Sans oublier :
Kansallismuseo, le musée national finlandais
L’église de Temppeliaukio
Le musée du Design
Le musée zoologique
Sibelius Park
Le parc national de Nuuksio
L’ateneum
Le marché de Hakaniemi
La Plage de Hietaniemi
Les saunas de bord de mer
Le Design District : quartier contemporain
Old Market Hall
The Esplanadi Park
Croisière touristique sur les canaux
Visite en bus de la ville
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