Le yoga pour enfants regorge de bienfaits que ce soient au niveau physique ou mental.
Il se pratique dès 3 ans afin d’apaiser les enfants.
Les bienfaits au niveau physique sont :
Le yoga permet de travailler la souplesse, la force, la coordination et l’équilibre.
L’enfant prend conscience de son corps et le renforce, étire ses muscles et ses articulations.
L’enfant a de meilleures habitudes posturales.
Les bienfaits au niveau mental sont :
Le yoga est un outil génial pour la gestion des émotions pour les enfants qui ont du mal à parler.
Les enfants apprennent à mieux se concentrer grâce aux techniques de respiration et de méditation.
Les enfants prennent confiance en eux en se voyant progresser.
Les 4 postures adaptées aux enfants :
La posture du chat – vache
Il faut se mettre à 4 pattes, placer les mains bien à plat sous les épaules, les genoux espacés à largeur de hanches, avec un dos bien droit.
On inspire en arrondissant le dos comme un chat et on expire en le creusant comme une vache.
2. La posture du chien tête en bas
Il faut se mettre à 4 pattes, placer les mains à plat, doigts écartés sous les épaules, les genoux alignés en dessous des hanches.
Pousser dans ses bras pour soulever le bassin vers le ciel tout en gardant le dos bien droit.
3. La salutation au ciel
Il faut se mettre debout, les pieds à largeur de hanches et les bras le long du corps en gardant le dos bien droit.
Lever les bras en inspirant et pousser le bassin vers l’avant et courber le dos dans une flexion arrière en expirant.
4. L' »Uttanasana »
Il faut se mettre debout, les pieds à largeur de hanches et les bras le long du corps.
Inspirer en tendant les bras vers le ciel et expirer en réalisant une flexion avant en se penchant en avant depuis les hanches en laissant les bras se détendre vers la terre.
Istanbul est une grande ville turque à cheval entre l’Europe et l’Asie, séparée par le détroit du Bosphore.
C’est une ville qui mélange l’ancien et le nouveau.
Joyau des mille et une nuits, Istanbul vous charmera.
Elle compte 15.660.000 habitants pour 5.461 km².
Les incontournables à visiter à Istanbul sont :
Le palais de Topkapi
Le palais de Topkapi a été construit entre 1453 et 1465 par le sultan Mehmed II.
C’est un symbole de la splendeur ottomane au XVème siècle.
Autrefois résidence des sultans, il présente les richesses de l’empire avec des bijoux, des manuscrits et des objets d’art.
Admirez son architecture, ses jardins et la vue sur le Bosphore.
Il possède des passages secrets qui étaient utilisés par les sultans ottomans pour accéder aux différentes parties du palais, notamment le harem et Sainte-Sophie.
Le Trésor impérial ou le Trésor d’Enderun renferme des objets uniques, comme les trônes de plusieurs sultans ottomans, leurs armures, des siècles d’armes et des pierres précieuses.
Il abrite parmi ses trésors le légendaire « diamant du fabricant de cuillères », l’un des plus gros diamants taillés au monde.
Il a servi de résidence aux sultans ottomans pendant près de quatre siècles.
Après la mort de Mehmed, une trentaine de sultans ont gouverné depuis le palais, le rénovant et l’agrandissant pour lui donner son aspect actuel : un mélange unique de styles architecturaux islamiques, européens et ottomans.
Composé de quatre cours et de plus de 400 pièces, le palais abritait environ 4.000 personnes, dont 300 concubines dans le harem.
L’adresse est : Cankurtaran.
Le prix d’entrée de 7 € pour tout le monde.
2. La basilique Sainte-Sophie
C’est en l’année 325, la vingtième de son règne, que l’empereur Constantin fit élever la première basilique, consacrée non pas comme on le croit parfois à une sainte du nom de Sophie, mais à la Sagesse Divine.
Son fils Constance la fit agrandir et l’Haghia Sophia devint l’église épiscopale de Constantinople.
En 404, sous l’empereur Arcadius, elle fut incendiée en partie au cours d’une émeute suscitée par l’exil de saint Jean Chrysostome.
Rebâtie en 415 par Théodose II, la basilique fut brûlée une seconde fois en 532 lors de la grande sédition Nika, causée par des rivalités du Cirque, la cinquième année du règne de Justinien Ier.
C’est à ce dernier empereur que nous devons l’édifice qui existe encore aujourd’hui.
Une vaste esplanade, recouverte d’une sorte de ciment formant une couche de vingt pieds d’épaisseur, et qui finit par acquérir la dureté du béton, servit d’assise à la construction.
Les murs furent élevés en briques, mais on bâtit les piliers en grandes pierres calcaires qui furent reliées par des crampons de fer, ainsi que des tables de marbre dont tous les murs intérieurs furent revêtus.
Pour la construction du dôme, Justinien fit confectionner à Rhodes des briques d’une terre si légère que douze d’entre elles ne pesaient pas plus qu’une brique ordinaire ; elles portaient l’inscription suivante : « C’est Dieu qui l’a fondé, Dieu lui portera secours. »
Enfin le monument fut achevé en 548.
L’empereur procéda à l’inauguration avec magnificence en s’écriant : « Gloire à Dieu qui m’a jugé digne d’accomplir cet ouvrage ; je t’ai surpassé ô Salomon ! » Les prières, les festins publics et les distributions d’aumônes durèrent quatorze jours.
La coupole, bâtie avec trop de hardiesse, s’écroula en 558 – 559 sous l’effet d’un tremblement de terre.
L’architecte Isidore le Jeune fut chargé de la reconstruire.
Il diminua son diamètre et renforça les piliers en leur accolant extérieurement de fortes murailles.
En 975, sous les empereurs Basile II et Constantin IX, une nouvelle restauration fut nécessaire.
En 1347, un séisme endommagea la coupole qui dut être à nouveau restaurée sous la direction des architectes Astaros, Faciolatus et Giovanni Peralta ; les travaux durèrent jusqu’en 1354.
En 1371, un nouveau tremblement de terre renversa la croix.
Le 29 mai 1453, le soir même de la prise de Constantinople, le sultan Mehmet II se rendit à Sainte-Sophie et donna l’ordre de la transformer en mosquée. Le 1er juin, il y faisait sa prière.
Seuls, les quatre minarets édifiés au XVème siècle aux angles de l’édifice allègent quelque peu son aspect extérieur.
Celui du nord-est, attribué à Bayazid, est cannelé.
Celui du sud-est, assigné à Mehmet Fatih, est polygonal, à facettes planes.
Les deux minarets de l’ouest, érigés par Sélim II, sont polygonaux, à nervures saillantes sur les arêtes.
La coupole, aujourd’hui surmontée d’un immense croissant, est soutenue par des murs dont les assises sont alternativement blanches et roses.
Jusqu’en 1934, Sainte-Sophie, l’Aya Sofya servit ainsi de mosquée.
À cette date, Atatürk la fit transformer en musée.
L’adresse est : Sultan Ahmet, Ayasofya Meydanı, 1.
L’ex-basilique byzantine Sainte-Sophie impose désormais un droit d’entrée de 25 € aux visiteurs étrangers.
3. La Citerne Basilique
Les citernes ont été construites de manière à ce que la ville dispose de réserves d’eau suffisantes en cas d’attaques ennemies.
La Citerne Basilique a été construite à l’époque de Justinien Ier (527-565) pour alimenter le palais byzantin en eau.
Elle était alors située sous une basilique, dont il ne reste rien aujourd’hui, mais qui lui a donné son nom.
C’est pour remplir la citerne que les aqueducs de Valente (qui existent encore aujourd’hui) et Adriano ont été construits.
Ces aqueducs recevaient de l’eau des forêts de Belgrade, à une vingtaine de kilomètres de Constantinople.
La citerne Yerebatan (Yerebatan Sarnıcı, son nom en turc) mesure 140 mètres de long sur 70 mètres de large et peut stocker environ 100.000 m3 d’eau.
Elle possède en tout 336 colonnes de 9 mètres de haut.
Les styles des colonnes sont très variés, puisqu’elles ont été construites à partir des vieilles structures de monuments variés.
La promenade touristique se fait à travers des passerelles qui surplombent l’eau.
Ces passerelles ont été construites à la fin du XXème siècle et, avant cela, les personnes se déplaçaient dans la citerne en bateau.
Parmi les 336 colonnes de la basilique, deux ont comme base une tête de Méduse, cette figure mythologique qui transformait les personnes qui la regardaient en pierre.
Il existe différentes théories sur la signification de ces têtes à l’intérieur de la citerne, que vous découvrirez lors de la visite.
L’adresse est : Alemdar, Yerebatan Cd. 1/3.
Le prix d’entrée est de 24,50 € pour tout le monde.
4. La mosquée bleue
La Mosquée Bleue est la plus grande mosquée d’Istanbul.
Elle a été construite par le sultan Ahmed Ier, entre 1609 et 1616.
Elle a été inaugurée en 1617, sous le mandat de Moustapha Ier.
Le dôme central mesure 23 mètres de diamètre et 43 mètres de haut.
La mosquée bleue possède six minarets.
Au moment de sa construction, cela a suscité de nombreuses controverses car la Mecque en a également six.
Plus tard, et pour apaiser les fidèles, un septième minaret a été construit sur La Mecque afin de la différencier.
En entrant dans la mosquée bleue, vous découvrirez vite la raison de son nom : plus de 20.000 tuiles bleues ornent le dôme et la partie supérieure de la mosquée.
L’éclairage particulier de la mosquée est dû à ses 200 vitraux et aux lustres suspendus au plafond.
Pour entrer dans la Mosquée Bleue, comme dans le reste des mosquées de la ville, vous devrez porter les vêtements appropriés et enlever vos chaussures.
Les femmes doivent avoir les épaules et les cheveux couverts.
Si vous n’avez rien pour vous couvrir, on vous donnera un foulard à l’entrée.
L’adresse est : Place Sultanahmet.
L’entrée est gratuite pour tout le monde.
5. Le palais de Dolmabahçe
Situé sur la côte européenne du détroit du Bosphore, le palais de Dolmabahçe dresse un tableau vif des jours de gloire de l’Empire ottoman.
La construction du palais était l’idée du sultan Abdülmecid Ier, animé par l’ambition de résumer l’essence contemporaine de son époque.
Sous les mains magistrales des architectes Garabet Balyan et Nigoğayos Balyan, son palais de rêve a vu le jour, mêlant avec grâce les inspirations baroques ottomanes et néoclassiques.
Les traditions turques dansent élégamment avec l’esthétique occidentale, faisant de chaque coin une conversation.
Qu’il s’agisse de la majestueuse salle de cérémonie, des recoins intimistes du harem du sultan ou de l’agitation des quartiers administratifs, le palais bourdonne d’histoires.
Mais les histoires ne sont pas confinées entre quatre murs.
Le Palais de Dolmabahçe, ou le « jardin rempli », vous invite à l’extérieur.
Les artisans italiens ont investi tout leur cœur dans des jardins éclatants de couleurs et de parfums, offrant une évasion tranquille loin des intérieurs ornés du palais.
Se promener dans le Palais de Dolmabahçe , c’est comme feuilleter le grand album de famille de la Turquie.
Chaque couloir, pièce et fleur fait écho à des récits d’époques révolues, inspirant admiration et émerveillement.
Les murs résonnent des rires, des murmures et des pas de ceux qui ornaient autrefois ses chambres.
Les œuvres d’art complexes et l’architecture grandiose sont des témoins silencieux des nombreux événements historiques et moments intimes qui se sont déroulés ici.
À chaque étape, on prend conscience de l’ampleur de l’histoire qui imprègne l’essence même du palais.
En partant, vous n’emportez pas seulement les souvenirs d’un monument historique, mais aussi un lien profond avec le riche patrimoine de la Turquie et l’élégance intemporelle de l’Empire ottoman, laissant une marque indélébile dans votre âme.
L’adresse est : Vişnezade, Dolmabahçe Cd.
Le prix d’entrée est de 12 € pour tout le monde.
Sans oublier :
La Tour de Galata
Le Grand Bazar
La Mosquée Süleymaniye
Le Musée archéologique
Le musée Saint-Sauveur-in-Chora
Le Musée des Arts turcs et islamiques
Sultanahmet
Balat
Bebek
Ortaköy
Kadiköy
Beyoglu
Le Bosphore
Istiklal Caddesi (rue commerçante)
Vialand (Parc d’attractions)
La Tour de GalataLe Grand BazarLa Mosquée SüleymaniyeLa Mosquée SüleymaniyeLe Musée archéologiqueLe Musée archéologiqueLe musée Saint-Sauveur-in-ChoraLe musée Saint-Sauveur-in-ChoraLe Musée des Arts turcs et islamiquesLe Musée des Arts turcs et islamiquesSultanahmetBalatBebekOrtaköyKadiköyBeyogluLe BosphoreIstiklal CaddesiVialandVialand
Les consoles de jeux à détection de mouvements telles que la Wii, la Switch, la Kinect (sur PC), combinent exercice physique et stimulations cognitives.
Les effets de l’activité physique sur le bien-être ne font plus aucun doute.
Les jeux de la Wii proposent énormément d’activités physiques telles que le basket, le tennis, la course, …
Plus besoin de sortir de chez soi pour pratiquer de l’exercice.
Depuis la pandémie de Covid-19, beaucoup de personnes, fautes de pouvoir sortir et bouger, se sont réfugiées dans les écrans.
Selon le jeu pratiqué, un large éventail de la condition physique peut être sollicité comme l’équilibre, l’endurance, la force, la souplesse ou la coordination.
Ces confrontations individuelles ou en équipe peuvent avoir lieu sur n’importe quel support, de l’ordinateur à la console, en passant par la tablette ou le smartphone.
Les compétences développées grâce aux jeux vidéo sont :
La coordination oeil – main
La vitesse de prise de décision
La mémoire
La concentration
La communication
L’entraînement cognitif (math, géographie, …)
Des études ont montré que l’entraînement simultané physique et cognitif, dans le cadre des jeux vidéo, est plus efficace que l’exercice physique seul.
De même, les chercheurs précisent que les jeux vidéo aident aussi à réduire le stress et l’anxiété.
En effet, le joueur détourne son attention de ses pensées négatives, ce qui favorise la relaxation, améliore son humeur, son estime de soi et son énergie.
Bien sûr, il convient de noter que les effets des jeux vidéo sur la santé mentale dépendent de la nature des jeux utilisés.
Des personnes âgées qui ont joué à des jeux vidéo pendant trois mois, à raison de trois séances d’une heure par semaine ont amélioré de façon considérable leurs fonctions de mémoire de travail et de traitement de deux tâches en parallèle.
Ils ont ressenti les bénéfices dans leur quotidien.
C’est la capitale économique et la plus grande ville du Mecklembourg–Poméranie-Occidentale.
Elle est située à 13 kilomètres de la mer Baltique, sur l’estuaire de la rivière Warnow, en amont de la station balnéaire de Warnemünde qui constitue son avant-port.
Elle compte 208.400 habitants pour 181,36 km².
Les incontournables à visiter à Rostock sont :
L’horloge astronomique
L’église Ste Marie, construite vers 1472, possède une horloge astronomique qui est installée dans le déambulatoire, dos à dos avec le maître-autel.
Elle fut réparée en 1641 par Laurent Bochard.
En 1710, elle fut munie d’un pendule.
En 1745, les indications du calendrier furent renouvelées pour 130 ans.
De 1835 à 1842, la poussière des travaux bloque les mécanismes.
En 1885, il y eu la dernière grande réparation, refonte du calendrier de 1885 à 2017.
L’horloge mesure 4,60 m de large et 9,50 m de hauteur.
Le haut de l’horloge montre des automates (38 cm de hauteur), qui défilent une fois l’heure.
Deux anges annoncent le passage des apôtres et se retirent.
Les apôtres sortent d’une petite porte située sur la droite, passent devant Jésus-Christ, qui les bénit, et rentrent dans une porte située sur la gauche.
Le dernier apôtre, Judas, n’est toutefois pas béni et la porte se referme, le condamnant à rester une heure entière à l’extérieur.
L’heure sur la couronne extérieure du cadran indique 24 heures, en chiffres romains de I à XII, en doré sur fond bleu dans une écriture gothique.
Une seule aiguille, terminée par une main pointant l’index et de l’autre par une étoile dorée.
Suivie de celle des signes du zodiaque en relief.
Tout autour, sur une petite couronne, des nombres en chiffres arabes divisent chaque signe de 5 en 5, de 0 à 30’’.
Deux petites aiguilles, le Soleil et la Lune montrent leurs positions actuelles dans le zodiaque.
L’aiguille solaire fait le tour du cadran en un an.
L’aiguille lunaire en un mois lunaire, à savoir +/- 29,53 jours.
La couronne suivante indique les mois de l’année, janvier étant situé en bas sur la droite, les mois augmentant ensuite dans le sens inverse des aiguilles d’une montre et sont représentés par des scènes de la vie.
L’adresse est : b. d. Marienkirche, 1.
L’entrée est gratuite pour tout le monde.
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2. L’Eglise Sainte-Marie
L’église Sainte-Marie est la plus grande des trois églises du centre-ville et la seule à être sortie indemne de la Seconde Guerre mondiale.
L’édifice gothique en briques a été construit en 1173 par Henri le Lion pour servir de cathédrale à l’évêque de Lübeckdu.
Elle renferme quelques trésors, notamment :
Des vitraux
Une horloge astronomique médiévale (Détaillée en point 1)
Un orgue
Un maître-autel magnifique
Une chaire
Un tapis marial
Des tombeaux
L’adresse est : b. d. Marienkirche, 1.
L’entrée est gratuite pour tout le monde.
3. Le musée d’histoire culturelle
Le musée d’histoire culturelle de Rostock occupe les salles d’un monastère historique fondé en 1270 par la reine Margrethe de Danemark.
L’exposition explique l’histoire de la ville et de ses citoyens entre 1200 et 1850, demandant sur quoi ils vivaient, qui les dirigeaient, ce en quoi ils croyaient, où ils vivaient, ce qui les façonnait.
L’exposition invite les visiteurs à travers un voyage à travers 650 ans de développement de Rostock.
Les expositions racontent les luttes politiques et les bouleversements culturels, de la vie des pauvres et des riches, des temps de prospérité ainsi que des chapitres sombres de l’histoire de la ville
L’exposition permanente présente un large éventail d’objets comprenant :
Jouets
Pièces de monnaie
Art ecclésiastique
Artisanat en étain
Bijoux anciens
L’adresse est : Klosterhof, 7.
L’entrée est gratuite pour tout le monde.
4. Le zoo
Fondé en 1899 sur anciens terrains militaires nommés Trotzenburg, le zoo a débuté avec des sangliers et différentes espèces de cerfs dans des enclos.
Le zoo s’étend sur 56 hectares et héberge 4,500 animaux de 320 espèces, ce qui en fait le plus grand jardin zoologique de la côte baltique allemande.
Le Darwineum, construit en 2012, couvre 20.000 mètres carrés et présente plus de 80 espèces animales sous un même toit.
L’adresse est : Barnstorfer Ring, 1.
Le prix d’entrée est gratuit pour les – de 4 ans, 10 € pour les 4 – 16 ans et 24 € à partir de 17 ans.
5. Le musée de la prison de la Stasi
La prison a été construite à la fin des années 1950 comme une prison préjudicielle spécialement pour la Stasi, dans le cadre de l’administration du comté de Rostock du ministère de la Sécurité d’État.
L’aile cellulaire avait environ 50 cellules.
La plupart d’entre eux, d’une superficie de 7,5 mètres carrés, ont été préparés pour deux personnes. Jusqu’à 110 femmes et hommes pourraient être détenus en même temps.
Les cellules n’avaient pas de fenêtres, la lumière du jour n’entrait que par des briques de verre. L’intention était d’empêcher les prisonniers de voir où ils se trouvaient.
Les pressions psychologiques pendant les interrogatoires, les conditions d’incarcération, la peur et l’incertitude ont contraint les prisonniers à faire des aveux.
Ceux-ci ont été utilisés contre les défendeurs dans le cadre de la procédure judiciaire.
L’adresse est : Hermannstraze, 34b.
L’entrée est gratuite pour tout le monde.
Sans oublier :
Le musée de la marine
Le musée d’art
3D Trick Art – 3D Museum
Le musée d’histoire
La galerie Joost Van Mar
Eglise de San Nicolás
Eglise del Espíritu Santo
Eglise Saint Pierre
Monastère de la Santa Cruz
La place du marché
Shopping sur Kröpeliner Strasse
Promenade sur les bords de l’Alter Strom
Bronzage sur la plage de Warnemunde
Le phare de Warnemunde
Le musée de la marineLe musée de la marineLe musée d’artLe musée d’art3D Trick Art – 3D Museum3D Trick Art – 3D MuseumLe musée d’histoireLe musée d’histoireLa galerie Joost Van MarLa galerie Joost Van MarEglise de San NicolásEglise de San NicolásEglise del Espíritu SantoEglise del Espíritu SantoEglise Saint PierreEglise Saint PierreMonastère de la Santa CruzMonastère de la Santa CruzLa place du marchéShopping sur Kröpeliner StrassePromenade sur les bords de l’Alter StromBronzage sur la plage de WarnemundeLe phare de WarnemundeLe phare de Warnemunde